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Phosphate marocain : la justice sud-africaine interfère dans le processus conduit par les Nations Unies

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  • Le dossier du navire « NM Cherry Blossom » saisi temporairement au Port Elizabeth en Afrique du Sud, transportant du phosphate marocain a été renvoyé à un procès sur le fond par la cour sud-africaine.
  • OCP dénonce une instrumentalisation des séparatistes du front «polisario» à des fins politiques et médiatiques.
  • Violant les principes fondamentaux du droit international, la justice sud-africaine en se jugeant compétente, malgré la jurisprudence de la cour panaméenne, s’interfère dans un processus onusien.
  • OCP rappelle son engagement social et responsable dans toutes les régions du Maroc et notamment dans la région du sud.

Le groupe OCP conteste la décision de la cour sud-africaine d’envoyer le dossier de saisie du navire « NM Cherry Blossom » à un jugement sur le fond, notant que cette décision est en contradiction totale avec le jugement de la Cour panaméenne qui, elle, s’est déclarée incompétente sur ce même sujet dont la nature est éminemment politique.

Suite au recours intenté par le front «polisario», la cour de justice locale sud-africaine outrepassant ses compétences a décidé de renvoyer le dossier à un procès sur le fond. Le groupe OCP est consterné par cette décision qui prétexte la «complexité» d’un sujet relevant pourtant d’un processus international en cours. Cette décision est en contradiction totale avec le jugement de la Cour panaméenne qui, elle, s’est déclarée incompétente sur ce même sujet dont la nature est éminemment politique, indique un communiqué du groupe OCP.

Le Groupe OCP réfute catégoriquement les allégations fallacieuses des requérants qui ont servi de fondement à ce jugement. Le groupe OCP dénonce, de surcroît, les tentatives du front «polisario» d’instrumentaliser des juridictions locales à des fins politiques et médiatiques, souligne la même source.

Le 1 mai 2017, un juge sud-africain avait ordonné la saisie conservatoire d’une cargaison de phosphate en provenance de Phosboucraa, se traduisant par une immobilisation temporaire du navire à Port Elizabeth. Cette ordonnance de saisie était la conséquence d’une requête adressée au juge sud-africain par le front «polisario», sur la seule base d’allégations politiques totalement infondées et motivées par l’activisme séparatiste d’une «RASD» auto-proclamée, une entité non reconnue ni par les Nations Unies ni par la communauté internationale.

Dans sa décision du 15 juin 2017, la cour sud-africaine saisie du dossier a renvoyé l’affaire pour un jugement sur le fond. Bien qu’elle admette la «complexité» et le «caractère international» de la question, elle s’est arrogé une compétence juridictionnelle en contradiction avec les principes fondamentaux du droit international, relève la même source.

Cette décision ne traite ni du fond ni de la substance. Elle interfère dans le cours du processus international conduit sous l’égide des Nations Unies, contrairement à la décision de la Cour panaméenne rendue le 5 juin 2017, et qui, elle, avait statué sur son absence de compétence juridictionnelle à entendre le dossier sur le fond dans le respect du processus international en cours, fait remarquer la même source.

Le Groupe OCP dénonce l’instrumentalisation d’une juridiction locale par les requérants comme une instance de règlement d’un dossier politique relevant du Conseil de Sécurité et du Secrétaire Général des Nations Unies. En intentant une telle action au lendemain de la résolution du Conseil de Sécurité des Nations Unies suite à l’appel du Secrétaire Général à s’engager à la reprise de pourparlers de bonne foi et sans conditions préalables avec le soutien de la communauté internationale, le front « polisario » démontre sa volonté de nuire au bon déroulement du processus mené sous l’égide du Conseil de Sécurité des Nations Unies et au développement socio-économique de la région, ajoute la même source.

Rappelons que l’implantation du Groupe OCP, en tant que premier employeur privé de la région, est un acteur clé dans développement économique de celle-ci. Il mène ses opérations et ses activités en pleine conformité avec le droit international et en particulier le cadre applicable des Nations Unies sur l’exploitation des ressources naturelles tel qu’attesté par des rapports d’audit et avis juridiques internationaux indépendants.

Phosboucraa emploie près de 2200 collaborateurs parmi lesquels 76% de locaux. Filiale détenue à 100% par le Groupe OCP, l’entreprise oeuvre activement en faveur du développement humain et industriel local, permis par un réinvestissement systématique de la totalité des bénéfices réalisés. Il se concrétise notamment à travers la construction d’infrastructures pérennes sur le territoire et des investissements considérables en matière d’éducation ou d’environnement.

Cet effort en faveur du développement socio-économique de la région s’illustre par une démarche de responsabilité sociale et de conformité répondant à la fois aux lois marocaines applicables et aux standards les plus stricts de l’ONU. Le Groupe OCP, leader international engagé dans la sécurité alimentaire mondiale et le développement agricole de l’Afrique dans une démarche de partenariat Sud-Sud, accorde partout une importance majeure à la durabilité de ses opérations, à l’égalité des chances en matière d’emploi, et aux bénéfices de ses opérations pour la région et la communauté locale. Phosboucraa en est un exemple éloquent.

La création de la Fondation Phosboucraa, en 2014, est une autre marque de cet engagement au profit d’une agriculture durable, du développement humain par la santé et l’éducation, et de la prospérité de la région. OCP et Phosboucraa continueront donc de défendre avec détermination / fermeté l’intérêt de la communauté locale, de leurs employés et retraités, de leurs clients et des agriculteurs, souligne le groupe OCP.

Avec MAP

Phosphate marocain : La cour panaméenne met en échec les machinations du Front polisario

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L’action infondée intentée par ‘’le front polisario’’ contre le propriétaire du navire Ultra Innovation transportant une cargaison de phosphate marocain en provenance de Phosboucraa, a été rejetée mercredi par la cour maritime du Panama, apprend-on auprès de l’OCP.

‘’La cour maritime du Panama vient de rendre son jugement au sujet de la tentative de saisie du navire Ultra Innovation transportant une cargaison de phosphate marocain en provenance de Phosboucraa’’, indique jeudi l’OCP dans un communiqué, ajoutant que ‘’l’action infondée intentée par le front polisario contre le propriétaire du navire a été rejetée par cette Cour’’.

‘’La Cour panaméenne déclare qu’une cour nationale n’est pas la juridiction compétente pour se prononcer au sujet d’une affaire politique internationale’’, indique la même source, ajoutant que ‘’le jugement de la cour révèle par ailleurs qu’il n’y a aucune preuve démontrant que la cargaison appartient aux requérants’’.

‘’En décidant qu’une cour nationale n’est pas le lieu approprié pour considérer des allégations sans fondement et purement politiques, la cour panaméenne met en échec les tentatives du front polisario de nuire au développement économique et social important de la région et de contourner le processus politique présentement en cours sous l’égide du Conseil de Sécurité des Nations Unies’’, souligne OCP.

Concernant la tentative similaire en Afrique du Sud, ‘’le tribunal vient, aujourd’hui même, de reporter sa décision au 15 juin 2017. Nous restons confiants que les fondements juridiques et les faits nous sont favorables’’, affirme OCP.

‘’Phosboucraa poursuit son rôle en tant qu’acteur responsable engagé à servir ses clients tout en renforçant le développement socioéconomique de la Région’’, conclut la même source.

MAP

50ème anniversaire de la Guerre des Six Jours : Le Sénat américain affirme la « souveraineté » d’Israël sur Al-Qods occupée

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Le Sénat américain a approuvé lundi, à l’unanimité des votants, une résolution appelant le président à transférer l’ambassade des États-Unis en Israël de Tel Aviv vers Al-Qods occupée, une promesse de campagne de Donald Trump, qu’il a décidé de retarder la semaine dernière.

Le Sénat a voté par 90 voix pour et 0 contre en faveur d’une résolution qui «appelle le président et tous les fonctionnaires des États-Unis à se conformer» à une loi de 1995 qui exhortait le président Bill Clinton à déplacer l’ambassade américaine à Al-Qods occupée, et ce à l’occasion du 50ème anniversaire de l’annexion de la ville sainte par les autorités d’occupation israélienne en 1967 suite à la Guerre dite des Six Jours.


Depuis lors, les présidents républicains et démocrates ont émis des décrets de report d’une durée de six mois qui leur permettent de garder l’ambassade à Tel-Aviv et contourner ainsi la loi. Trump n’a pas fait exception à cette ‘tradition’ bien que son administration a promis qu’elle appliquerait cette loi laquelle, si elle venait à être exécutée, constituerait une vraie bombe à retardement et menacerait réellement le processus de paix déjà extrêmement fragile.


 

LE1

Arabie Saoudite/Israël : vers une normalisation des relations ?

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La deuxième chaîne israélienne a, pour la première fois, accueilli un journaliste saoudien, Abdelhakim Al Hamid, directeur du Centre d’études sur le Moyen-Orient de Jeddah, pour commenter la grave crise diplomatique à laquelle fait face le Conseil de Coopération du Golfe. Cette sortie, loin d’être anodine, exprime la volonté de l’Arabie saoudite de s’ouvrir sur son environnement à l’horizon de 2030, et intervient à un contexte régional crucial, quelques jours seulement après l’inauguration à Ryadh du Centre international de la lutte contre la pensée extrémiste #GCCEI, une sorte de PC opérationnel mondial qui allie techniques digitales, cyber-guerre et veille sensible en vue de la prise rapide de décision politiques à Washington et dans certaines capitales arabes.


En réponse à une question du présentateur israélien au sujet de l’objectif recherché par la rupture des relations diplomatique avec le Qatar, l’invité saoudien a expliqué que cette décision fait partie d’un plan politique adopté par l’Arabie Saoudite, les Emirats Arabes Unis et l’Egypte, surtout après le sommet de Ryadh, auquel a participé le président américain Donald Trump, selon lequel «il n’y a pas de place dans ces pays pour les groupes terroristes qui utilisent la religion pour atteindre des intérêts politiques, comme le Hamas et le Jihad islamique palestinien.»

Il a souligné que ces pays ont pris la décision de s’orienter vers la paix, et de parvenir à celle-ci au Moyen-Orient. «La première étape vers cet objectif est d’assécher les sources de financement du terrorisme (…) Il n’y aura de place pour aucun groupe extrémiste que ça soit les Frères musulmans ou tout autre groupe religieux, qui utiliserait la religion pour atteindre des intérêts politiques ou contribue à la propagation de la pensée extrémiste, au nom de la religion ou au nom de la résistance ou au nom du djihad.»

Pour Abdelhakim Al Hamid, «la balle est dans le camp du Qatar (…) et Doha va certainement recourir aux États-Unis ou à l’Union soviétique [sic] pour une médiation, mais aussi bien Washington que Moscou, s’il veulent aider le Qatar, ne le feront que si Doha se débarrasse de son soutien au terrorisme et aux groupes qui prônent la violence.»
«Il est temps de construire un nouveau Moyen-Orient fondé sur la paix, l’amour et la coexistence et le rejet de la haine (…) La violence et la culture de l’extrémisme n’apporteront au Moyen-Orient que davantage de pertes» a-t-il conclu.

LE1.

Le représentant permanent d’Israël à l’ONU élu vice-président de l’Assemblée générale

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L’ambassadeur d’Israël aux Nations Unies, Danny Danon a été élu mercredi à la vice-présidence de l’Assemblée générale, devenant ainsi le quatrième Israélien de l’histoire à être élu à ce poste.


L’année dernière, et pour la première fois depuis 1949, un Israélien s’était retrouvé à la tête d’une commission de l’Assemblée générale de l’ONU. Danny Danon a en effet été élu président de la commission chargée des questions juridiques, malgré l’opposition des pays arabes.

«C’est un honneur de représenter l’État d’Israël à ce poste de direction des Nations Unies», a déclaré Danny Danon.
Danny Danon est connu pour fustiger régulièrement les organismes des Nations Unies malgré le soutien indéfectible de Washington à la politique israélienne.

Dans le cadre de sa mission, Danny Danon devra présider les réunions de l’Assemblée générale, participer à l’établissement de l’ordre du jour de l’assemblée et observer le décorum pendant les sessions. Son mandat débutera en septembre lors de la nouvelle session de l’Assemblée générale.

Danny Dannon a réussi cette élection grâce au soutien du Groupe des États d’Europe occidentale et autres (GEOA), l’un des plus importants blocs régionaux votant aux Nations unies. Outre Israël, le GEOA comprend 28 États membres et deux observateurs : tous les États d’Europe de l’Ouest (24 pays), la Turquie, les États-Unis, le Canada, la Nouvelle-Zélande et l’Australie.

Par ailleurs, l’ambassadrice des États-Unis à l’ONU Nikki Haley, s’est félicitée de cette élection. Nilkki Haley doit se rendre en Israël les 7 et 9 juin, où elle tiendra rencontrera les dirigeants israéliens.

LE1 avec agences

Trump gronde Abbas

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Dans une scène surréaliste, le président américain Donald Trump s’en est pris violemment au Chef de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas en l’accusant de lui avoir menti sur la non-implication de son parti, le Fatah, dans l’incitation anti-israélienne, a rapporté aujourd’hui deuxième chaîne israélienne Channel 2.


«Vous m’avez menti quand je vous ai reçu à la Maison Blanche !», aurait déclaré Donald Trump lors d’une rencontre à huis clos avec Mahmoud Abbas. Channel 2 précise même que la rencontre était tout sauf cordiale.

Au cours de sa rencontre du 3 mai 2017 avec le président américain Trump, le Chef de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas aurait déclaré : « M. le Président, je vous affirme que nous élevons notre jeunesse, nos enfants et nos petits-enfants dans une culture de paix ».

Selon Channel 2, les israéliens auraient soumis des « preuves » à Donald Trump montrant le « rôle des palestiniens dans l’incitation à la violence. »

Abdelkader Taleb Omar, « premier ministre » de la pseudo-RASD, rencontre un ministre israélien

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Dans un élan de «réchauffement» des relations entre Israël et certains pays arabes, un ministre israélien a rencontré, mercredi, des représentants de ces pays dans la capitale équatorienne, Quito, en marge de l’investiture du nouveau président élu, Lenin Moreno. C’est la première fois qu’une telle rencontre a lieu solennellement, au vu et su de tous. Le ministre sans portefeuille, Ayoub Kara, accompagné de l’ambassadeur d’Israël en Équateur Edwin Yabo, en a profité pour prendre des photos avec les délégués du Qatar, du Sultanat d’Oman, du Yémen et d’autres pays arabes, ainsi qu’un membre de l’Autorité palestinienne. Le plus surprenant est que le ministre israélien a eu un long tête-à-tête avec le «premier ministre» de la pseudo-RASD qui a représenté le Polisario à la cérémonie de prestation de serment.

Ayoub Kara a tweeté qu’il a été «surpris par l’attitude chaleureuse des représentants des États du Golfe», et l’a interprétée comme étant un primo-résultat de la visite du président Donald Trump Moyen-Orient. «Pour la première fois, après des années d’action sur l’arène politique, [les représentants des] pays de la coalition saoudienne ont convenu d’avoir ouvertement une rencontre avec moi en tant que représentant de l’État d’Israël», a-t-il tweeté en hébreu.

«Le président Trump et le Premier ministre Netanyahu coordonnent chaque étape de cette initiative politique (ndlr : rapprochement des points de vue entre tous les acteurs de la région), et il y a des progrès sur le sujet», a déclaré Ayoub Kara via son compte twitter.

Selon ce ministre Druze, relevant du Parti du Likoud, les réunions avec les délégués arabes étaient «ouvertes et cordiales» et que toutes les parties «ont exprimé leur approbation pour aller de l’avant dans les négociations politiques» en vue d’un rapprochement des points de vue.

Par ailleurs, Ayoub Kara a eu long tête-à-tête avec le «premier ministre» de la pseudo-RASD, Abdelkader Taleb Omar, qui a représenté le Polisario à cette cérémonie de prestation se serment. «Tout comme l’Afrique a parcouru des pas francs en direction d’Israël, nous ferons tout pour que toute l’Amérique centrale et du Sud se rapprochent d’Israël aussi», a-t-il conclu.

Donald Trump essaye de monter une nouvelle alliance des États musulmans sunnites, avec les États-Unis et Israël pour contrer l’Iran. Il pousse également Israël et les Palestiniens à parvenir rapidement à un accord de paix, ce qui faciliterait une paix plus large entre Israël et les pays du Golfe.

Ayoub Kara a eu aussi des entretiens avec les présidents de la Colombie, du Guatemala et du Paraguay, ainsi qu’avec le président de l’Équateur nouvellement investi. Il les a exhortés à forger des relations plus étroites avec Israël dans la lutte contre le terrorisme.

LE1

Christopher Ross, Game Over

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L’Organisation des Nations unies a annoncé, vendredi, que Christopher Ross a cessé, depuis le 30 avril dernier, d’occuper le poste d’Envoyé personnel du Secrétaire général pour le Sahara.

« Concernant une question posée lors du point de presse quotidien, nous souhaitons clarifier que Christopher Ross a cessé, depuis le 30 avril 2017, d’assumer le rôle d’Envoyé personnel du Secrétaire général pour le Sahara», a indiqué le porte-parole de l’Onu, Farhan Haq, dans une clarification envoyée aux journalistes accrédités à l’Onu.

Répondant, plus tôt dans la journée, à une question posée lors du briefing quotidien, Farhan Haq avait déclaré que Christopher Ross demeure l’Envoyé personnel du secrétaire général «jusqu’à ce que nous  aurons décidé autrement»

 

LE1 avec MAP

Phosphate marocain retenu à Port Elizabeth : Déclaration du Groupe OCP concernant l’audience du tribunal

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L’audience concernant l’action unilatérale entreprise par les requérants à Port Elizabeth a eu lieu jeudi, 18 mai 2017. OCP et Phosboucraa ont soumis à la cour que les allégations des requérants, au-delà d’être non-fondées, sont une tentative déplacée et inappropriée des requérants de contourner le processus politique international reconnu présentement en cours et activement mené par le Conseil de Sécurité des Nations Unies. A l’issue de l’audience, les juges rendront leur décision le 9 juin prochain. Nous sommes convaincus que les fondements juridiques et les faits nous sont favorables.

Phosboucraa maintiendra ses opérations en tant qu’acteur responsable, engagé à renforcer l’économie régionale, à améliorer la qualité de vie de la population locale, et à leur assurer un avenir plus prometteur.

La filiale Phosboucraa du Groupe OCP fait partie intégrante de l’économie de la région. Phosboucraa, ses opérations minières, ses produits et ses activités commerciales, respectent et vont au-delà des exigences des standards juridiques et les meilleures pratiques marocains et onusiens en opérant de manière responsable, en mettant un accent particulier sur la durabilité de ses opérations et sur l’égalité d’accès à l’emploi.

Phosboucraa va même au-delà en s’assurant, de surcroît, que l’intégralité de ses opérations bénéficie à l’ensemble de la communauté locale et de la région, notamment en réinvestissant l’entièreté de ses profits localement. Phosboucraa contribue ainsi de manière significative à la prospérité de la région et à celle de sa population, en assurant la pérennité de ses activités et des ressources naturelles locales au profit de la région.

Agression du diplomate marocain : Rabat convoque le Chargé d’affaires de l’Ambassade d’Algérie et l’ONU regrette cet incident malheureux

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A la suite de l’agression physique dont a été victime le diplomate marocain, Mohamed Ali El Khamlichi, de la part du Directeur général du ministère algérien des Affaires étrangères, le Chargé d’affaires a.i de l’Ambassade d’Algérie à Rabat a été convoqué, ce jour 19 mai, au ministère des Affaires étrangères et de la Coopération Internationale.

Il lui a été signifié l’étonnement du Royaume du Maroc face à cet acte qui transgresse tous les us et pratiques diplomatiques, et qui a été perpétré par le représentant d’un pays qui n’a cessé de clamer, haut et fort, qu’il n’est pas partie au différend régional autour du Sahara marocain, indique vendredi le ministère des Affaires étrangères et de la Coopération internationale.

Face à cet acte inadmissible de la part d’un très haut responsable diplomatique algérien, il lui a été demandé que des excuses soient présentées.

Pour sa part, l’Organisation des Nations unies a qualifié de «malheureux» le fait que cette réunion ne se soit pas déroulée d’une manière pacifique.

Dans une déclaration à la presse, le porte-parole de l’ONU, Farhan Haq, a affirmé qu’«évidemment, [l’ONU est présente] pour assurer que les réunions se déroulent de manière pacifique», regrettant que «ce n’est pas ce qui s’est passé dans ce cas particulier».

Questions & Réponse au sujet de cet incident lors du Daily Press Briefing

Hier, le chef de mission adjoint près l’ambassade du Maroc à Castries, Sainte Lucie, Mohamed Ali El Khamlichi, a été victime d’une agression physique de la part du directeur général du ministère algérien des Affaires étrangères, Soufiane Mimouni, et ce lors du séminaire de l’ONU sur les territoires non-autonomes qui se tient à Saint-Vincent-et-Grenadines.

LE1