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Salmane Ben Abdelaziz

Urgent – Le Roi Saoudien invite le président iranien à se rendre à Riyad

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Dans une lettre adressée au président iranien, le roi Salmane ben Abdelaziz Al Saoud d’Arabie saoudite a salué le récent accord entre l’Iran et l’Arabie saoudite, invitant Ebrahim Raïssi à se rendre à Riyad.

Le roi saoudien a envoyé, ce dimanche, un message au président iranien Ebrahim Raïssi, dans lequel il se félicite de l’accord de reprise des relations diplomatiques entre les deux pays et l’invite à une visite officielle à Riyad.

L’adjoint du bureau du président iranien pour les affaires politiques, Mohammad Jamshidi, a déclaré sur Twitter aujourd’hui, que «dans un message du roi saoudien Salmane ben Abdelaziz au président iranien Ebrahim Raïssi, le roi Salmane s’est félicité de l’accord entre les deux pays frères et a invité le président iranien à une visite officielle à Riyad».

Jamshidi a ajouté que le roi saoudien avait également appelé à l’établissement d’une coopération économique et régionale entre les deux pays.

Le président iranien a salué l’invitation et a souligné la volonté de l’Iran de développer la coopération avec l’Arabie saoudite, a ajouté Jamshidi.

À la suite de la rencontre entre le contre-amiral Shamkhani, secrétaire du Conseil suprême de sécurité nationale (CSSN) de l’Iran, et son homologue saoudien dans la capitale chinoise, il a été convenu que Téhéran et Ryad reprendraient leurs relations diplomatiques après sept ans de rupture.

Ils ont également convenu de reprendre la coopération en matière de sécurité, de commerce et d’investissement et de respecter la souveraineté de chacun et de ne pas s’ingérer dans les affaires intérieures.

Le prince héritier d’Arabie saoudite Mohammed ben Salmane nommé Premier ministre

Le roi d’Arabie saoudite Salmane ben Abdelaziz a nommé son fils et prince héritier Mohammed ben Salman au poste de premier ministre du royaume et son deuxième fils, le prince Khalid, au poste de ministre de la défense, selon un décret royal publié mardi.

Le roi d’Arabie saoudite, âgé de 86 ans, a nommé son fils, le prince héritier Mohammed ben Salmane, pour le remplacer au poste de premier ministre, poursuivant ainsi un transfert progressif du pouvoir.

Dirigeant de facto de l’Arabie saoudite, cette nomination officialise le prince Mohammed ben Salmane comme chef du gouvernement du royaume. Connu sous ses initiales MBS, le prince héritier, âgé de 37 ans, supervisait déjà un grand nombre des principaux portefeuilles de l’Arabie saoudite, notamment le pétrole, la défense, la politique économique et la sécurité intérieure – tandis que son père, le roi Salman ben Abdelaziz, reste chef de l’État.

Le remaniement a promu Khalid ben Salmane, frère cadet du prince héritier, au poste de ministre de la défense. Il en était le vice-ministre. L’autre fils de Salmane, le prince Abdelaziz, a été maintenu au poste de ministre de l’énergie.

Le ministre des affaires étrangères, le prince Faisal ben Farhan Al Saud, le ministre des finances, Mohammed al-Jadaan, le ministre de l’intérieur, le prince Abdelaziz ben Saud ben Nayef ben Abdelaziz et le ministre de l’investissement, Khalid al-Falih, ont gardé leurs portefeuilles, selon le décret royal.

Le roi Salman continuera de présider les réunions du cabinet auxquelles il assiste, indique le décret.

MBS et MBZ brisent l’embargo sur la nature de la maladie du président algérien

Alors que l’establishment algérien a imposé un embargo médiatique sur la nature de la maladie qui a obligé le transfert en urgence d’Abdelmadjid Tebboune en Allemagne pour des «examens médicaux», l’Arabie Saoudite et les Emirats arabes unis se sont mis d’accord ce vendredi pour lever le secret médical et confirmer la contamination du président algérien par le Covid-19.

Dans la soirée du vendredi, les agences de presse saoudienne et émiratie ont publié des dépêches annonçant l’envoi des chefs d’états respectifs de messages pour s’enquérir de la santé du président algérien, Abdelmajid Tebboune. Les deux dépêches ont précisé que ce dernier a été contaminé par le Coronavirus.

Les EAU ont utilisé le conditionnel

Le message envoyé par les responsables émiratis au président algérien comme il a été publié sur l’agence de presse officiel WAM a utilisé le conditionnel quand à l’infection par le Covid de Tebboun.

«Le président Son Altesse Cheikh Khalifa bin Zayed Al Nahyan a envoyé un télégramme au président algérien Abdelmadjid Tebboune, qui aurait contracté le COVID-19, lui souhaitant un prompt rétablissement.

Son Altesse Cheikh Mohammed bin Rashid Al Maktoum, Vice-président, Premier ministre et souverain de Dubaï, et Son Altesse Cheikh Mohamed bin Zayed Al Nahyan, Prince héritier d’Abou Dhabi et Commandant suprême adjoint des forces armées des Émirats arabes unis, ont envoyé des câbles similaires au président de l’Algérie.» a écrit l’agence de presse.

Le Roi Salmane affirmatif

Par ailleurs, le roi Salmane a été plus affirmatif au sujet du coronavirus du président algérien. L’agence de presse a en effet diffusé la dépêche suivante:

«Le gardien des deux saintes mosquées, le roi Salman bin Abdulaziz Al Saud, a adressé un télégramme à Son Excellence le président Abdelmajid Tebboune, président de la République algérienne démocratique et populaire, suite à la nouvelle de son infection par le nouveau virus Corona.

Le roi bien-aimé a déclaré: «Nous avons appris que votre Excellence a été infectée par le nouveau Coronavirus, et nous adressons à Votre Excellence nos meilleurs vœux de bonne santé et de bien-être et un prompt rétablissement de ce symptôme de santé, et que vous ne voyez aucun mal.»

https://twitter.com/saudiatv/status/1322156238269042688

La présidence algérienne a omis de préciser la nature la maladie de Tebboune

La présidence algérienne a rendu public, jeudi 29 octobre, un communiqué où elle rassur sur l’état de santé du chef de l’Etat, Abdelmadjid Tebboube, transféré en Allemagne pour soins.
«Après les examens médicaux approfondis qu’a subis le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, dans un grand hôpital spécialisé allemand, le staff médical affirme que les résultats de ces examens sont rassurants», peut-on lire dans ledit communiqué. «Le Président reçoit actuellement le traitement adéquat et son état de santé est stable et n’est pas préoccupant», selon la même source.

Une maladie qui tombe mal, la veille d’un référendum

Abdelmadjid Tebboune n’a pas pu être présent pour l’ouverture de la grande mosquée d’Alger, mercredi, et pourrait ne pas assister à son projet phare, le référendum sur la réforme constitutionnelle du 1er novembre.

Annoncée en début de mandat présidentiel, cette réforme avait pour objectif, sur le papier, de traduire la volonté de changement radical en articles constitutionnels » afin d’« édifier la nouvelle République ».

L’Algérie, dont les frontières restent fermées, connaît une recrudescence de cas de Covid-19 depuis deux semaines. Plus de 57.300 contaminations ont été recensées dans ce pays de 44 millions d’habitants depuis février, dont 1949 décès.

Arabie saoudite: La Omra va reprendre progressivement à partir du 4 octobre

La Omra va reprendre progressivement à partir du 4 octobre, a annoncé le ministère saoudien de l’Intérieur, sept mois après sa suspension en raison de la pandémie de coronavirus.

Avec AFP

L’Arabie saoudite avait suspendu «temporairement» début mars la Omra, pèlerinage qui attire chaque année des millions de pèlerins en Arabie saoudite et peut être entrepris tout au long de l’année. Il s’agissait d’une mesure inédite destinée à prévenir la propagation de la maladie Covid-19.

Dans une première étape, «6.000 citoyens (saoudiens) et résidents (étrangers) du royaume seront autorisés chaque jour à faire la Omra, à partir du 4 octobre», indique le ministère dans un communiqué publié par l’agence de presse officielle saoudienne SPA.

Les fidèles venant de l’étranger seront, eux, autorisés à partir du 1er novembre, quand le nombre de pèlerins admis s’élèvera à 20.000 par jour, ajoute le ministère.

La décision de reprendre l’Omra a été prise pour répondre aux vœux «des musulmans du pays et de l’étranger» de pouvoir se rendre dans leurs lieux saints, selon la même source.

La mesure concerne les villes de La Mecque et de Médine, les deux premiers lieux saints de l’islam.

Double effort

Les autorités avaient également décidé de revoir à la baisse le hajj, le grand pèlerinage de La Mecque, qui a eu lieu cette année entre fin juillet et début août.

Seuls une dizaine de milliers de fidèles résidant en Arabie saoudite ont pu l’effectuer, contre quelque 2,5 millions de participants venus du monde entier en 2019.

La décision des autorités saoudiennes risque de priver l’Arabie saoudite d’importants revenus, alors que Ryad espérait pouvoir accueillir tous les ans 30 millions de pèlerins d’ici à 2030.

Les pèlerinages coûtent généralement des milliers de dollars aux fidèles qui économisent souvent pendant des années et doivent s’inscrire sur de longues listes d’attente pour avoir une chance d’y participer.

Les autorités sanitaires ont déclaré qu’aucun cas de coronavirus n’avait été signalé sur les lieux saints pendant le hajj, l’un des cinq piliers de l’islam.

Les pèlerins ont fait le tour de la Kaaba le long de chemins préservant la distance physique. Ils étaient également soumis à des contrôles de température réguliers et tenus de se mettre en quarantaine obligatoire après le rituel.

Le roi Salmane, qui dirige le royaume à 84 ans, a déclaré que la tenue du hajj en pleine pandémie nécessitait «un double effort» de la part des autorités saoudiennes.

Défi logistique

Les pèlerinages du hajj et de la Omra représentent un défi logistique énorme, avec des foules colossales s’entassant dans des lieux saints relativement petits, les rendant vulnérables à la contagion.

Le royaume a cherché à contenir un pic d’infections sur son territoire, avec désormais plus de 330.000 cas – le plus élevé du Golfe – et plus de 4.500 décès. Mais plus de 312.000 personnes infectées sont déclarées guéries à la date de ce mardi.

Le tourisme religieux, qui représente 12 milliards de dollars (10,2 milliards d’euros) chaque année, selon les chiffres du gouvernement, est vital pour les finances saoudiennes dans un contexte de chute des cours du pétrole, dont le royaume est le premier exportateur au monde.

L’Arabie saoudite, qui dépensait naguère sans compter grâce aux revenus de l’or noir, est désormais contrainte à ce qu’une source proche du gouvernement qualifie de « resserrement budgétaire ».

The New York Times : Le coronavirus frappe violemment la famille régnante saoudienne

«Coronavirus envahit le sanctuaire saoudien» titre le New York Times dans un article publié mercredi 8 avril. Pas moins de 150 membres de la famille royale saoudienne seraient atteints du Coronavirus, dont le gouverneur de la région de Riyadh, croit savoir le célèbre journal américain. L’information aurait été fuitée de l’hôpital «King Faisal Specialist Hospital» de Riyadh qui a été mis en état d’alerte maximale, mardi soir, et se préparerait à accueillir jusqu’à 500 autres malades VIP.

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Le Roi Salmane toujours en vie

Donné pour agonisant ou au mieux très malade, le roi Salmane d’Arabie saoudite est apparu aujourd’hui recevant deux ambassadeurs saoudiens nouvellement nommés en Ukraine et en Uruguay. Les spéculations sur sa santé ont défrayé la chronique ce weekend après la confirmation d’une nouvelle opération de purge dans les rangs de la famille royale menée depuis vendredi par le prince héritier Mohammed ben Salmane.

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Signes de réchauffement entre le Qatar et l’Arabie saoudite

L’émir du Qatar n’a pas participé mardi à Ryad au sommet du Conseil de coopération du Golfe (CCG), qui avait été vu comme une occasion de réconcilation entre les deux voisins, mais son Premier ministre y a reçu un accueil chaleureux.

Cheikh Abdallah ben Nasser Al-Thani a été accueilli par le roi Salmane d’Arabie saoudite à l’aéroport où les deux dirigeants ont affiché un large sourire, peu avant l’ouverture du sommet qui s’est achevé dans l’après-midi.

«Bienvenue au peuple du Qatar. Bienvenue dans votre deuxième pays», a commenté de son côté la télévision publique Al-Ekhbariya dans un élan inhabituel de politesse envers l’émirat gazier généralement conspué dans les médias saoudiens.

Le chef du gouvernement qatari avait déjà représenté son pays au sommet du CCG en 2018, mais y avait reçu un accueil purement protocolaire.

L’Arabie saoudite, les Emirats arabes unis, Bahreïn et l’Egypte ont rompu en juin 2017 leurs liens avec le Qatar, accusé de soutenir des mouvements islamistes –ce qu’il nie– et de se rapprocher de l’Iran, principal rival régional de Ryad.

Ces pays ont imposé un embargo à Doha, qui a entraîné notamment la fermeture des routes terrestres, l’interdiction de l’accès à leur espace aérien et la suspension du commerce.

«Mettre fin à la dispute dans le Golfe est un processus progressif d’engagement et de dialogue et non quelque chose qui peut se résoudre par un simple sommet», indique Kristian Ulrichsen, expert à la Rice University’s Baker Institute aux Etats-Unis.

Lorsque la semaine dernière, le roi Salmane a convié au sommet l’émir du Qatar, cheikh Tamim ben Hamad Al-Thani, des observateurs ont vu un nouveau signe d’apaisement dans la foulée d’une déclaration du chef de la diplomatie qatarie, Mohammed ben Abderrahmane Al-Thani, faisant état de « progrès » pour mettre fin à la dispute.

Abou Dhabi, toujours opposé à un réchauffement des relations avec Doha

Autre signe d’un réchauffement potentiel : le Qatar vient d’accueillir la Coupe du Golfe de football à laquelle ont participé des sélections saoudienne, émiratie et bahreïnie, pour la première fois depuis le gel des relations avec Doha.

https://twitter.com/KSAMOFA/status/1204346774053433344

Vainqueurs de la compétition, les joueurs de Bahreïn ont célébré leur victoire aux côtés de l’émir du Qatar et de membres de la famille régnante de l’émirat.

En attendant, les obstacles à une éventuelle normalisation des relations sont toujours là.

Des personnes proches du dossier, dont un diplomate arabe, ont indiqué à l’AFP sous le couvert de l’anonymat qu’Abou Dhabi, principal allié de Ryad, était notamment opposé à un réchauffement des relations avec Doha.

Selon les analystes, les Emirats, plus que l’Arabie saoudite, voient le soutien du Qatar aux islamistes, en particulier les Frères musulmans, comme une menace existentielle.

De son côté, le Qatar rejette toujours les demandes formulées par le quatuor anti-Doha imposées comme conditions sine qua non à une reprise des relations.

Pour revenir sur leurs sanctions, Ryad et ses alliés avaient en effet exigé en 2017 la satisfaction par Doha de 13 requêtes, dont la révision des liens avec l’Iran, la fermeture d’une base militaire turque –Ankara ayant des relations tendues avec plusieurs pays arabes– mais également la suspension de la télévision Al-Jazeera, accusée de soutenir les islamistes et de semer le trouble dans la région.

Doha a justifié son refus en estimant que ces conditions violaient sa souveraineté. Et les autres parties n’ont pas montré de signes d’allègement de leurs positions.

«La normalisation de l’Arabie saoudite avec le Qatar pourrait se produire sans concessions majeures de Doha», estime Samuel Ramani, doctorant à l’Université d’Oxford.

«Il est possible que le Qatar puisse réduire ses liens avec les Frères musulmans, mais certainement pas avec la Turquie et l’Iran, car la confiance entre Doha et les autres pays du CCG a été gravement entamée», a-t-il indiqué à l’AFP.

Tournée royale dans le Golfe : Vers un réchauffement des relations avec l’Arabie Saoudite

Si la situation dans le monde arabe sera certainement au centre de la tournée qu’effectuera le roi Mohammed VI dans le Golfe, la qualité des relations bilatérales sera aussi à l’ordre du jour, surtout avec l’Arabie Saoudite, leader des monarchies pétrolières. Si les signes d’un réchauffement sont là, il restera à la diplomatie marocaine de définir les limites sur lesquelles le Royaume sera intraitable.

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Crise libyenne : Liaisons dangereuses

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Jeu hypocrite ou jeu de dupes. La communauté internationale semble victime d’un dédoublement de personnalité. Plusieurs pays adoptent un double jeu dans le dossier libyen en dénonçant du bout des lèvres et en apportant leur appui en douce. Une division qui joue en faveur des forces du Maréchal Haftar qui compte prendre le pouvoir par les armes, appuyé en cela par plusieurs pays.

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