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CCG

Mehdi Alaoui, le «Batma» du Digital

Décidément, certains jeunes de notre pays sont démunis de tout respect et de toute considération de l’honneur qui a été le leur, de recevoir une haute distinction des mains de notre Roi.

Si le scandal dit «Hamza Mon BB» a révélé le véritable visage de la chanteuse populaire Dounia Batma, le scandal de «La Factory», de l’APEBI et de #MoroccoTech a confirmé que Dounia Batma et Mehdi Alaoui sont les deux faces d’une même pièce.

Comme Batma, Mehdi Alaoui s’est cru intouchable par le wissam royal. «Je suis de la famille Aalaoui Hasani, et j’ai les bras longs», répétait-il à ces pauvres jeunes qui tient en laisse au Technopark.

Comme Batma, Mehdi Alaoui terrorisait son écosystème. «On ne pouvait rien dire, on pensait qu’il était soutenu par quelqu’un de puissant et de très haut placé» s’est confié à nous, un jeune Startupper tétanisé.

Comme Batma, Mehdi Alaoui avait sa cour de fidèles. «Les jumeaux Lakhdissi, Nasser Kettani, Oussama Choubai, Tarik Hilali et sa femme Marwa Cheikh-Youssef, font la loi au Technopark. Les jumeaux Lakhdissi sont les pires», s’est confié à nous un autre jeune qui est passé par App Editor.

Comme Batma, Mehdi Alaoui a été condamné en appel. La Cour d’Appel de Commerce de Casablanca a confirmé le jugement rendu en première instance condamnant Mehdi Alaoui et sa société App Editor de contrefaçon de la marque «La Factory».

Comme Batma, Mehdi Alaoui s’est vu ouvrir toutes les portes. La Caisse Centrale de Garantie le labèlise sans qu’il ait le statut requis et lui offre sur un plateau d’or une rente de plusieurs millions de dirhams, tout en associant sa marque «La Factory» usurpée, à une grande campagne de communication du fonds Innov Invest. La RAM «oublie» de son côté de lui demander, jusqu’à ce jour, les justificatifs d’un virement de 1,2 millions dhs. Le Technopark le coopte au sein de son Conseil d’administration et lui donne des bureaux de 500 m2, dont il «oublie» souvent d’en payer le loyer.

Comme Batma, Mehdi Alaoui adore les Range Rover et les villas. «Il a plusieurs voitures et des villas dans plusieurs villes. Il vit comme un prince» se dit sous le manteau au Technopark.

Mehdi Alaoui, usurpateur de la marque «La Factory» et arnaqueur dans l’âme, a transformé le wissam royal en un passe droit, une immunité contre toute poursuite et un laissez passer à toutes les caisses.

Sinon, comment peut-on expliquer cette agilité soudaine et ce tapis rouge déroulée par Hicham Zanati Serghini, Directeur Général de la SNGFE EX-CCG au profit de Mehdi Alaoui ?

Comment peut-on expliquer que l’OMPIC lui accorde les droits sur la marque «Startup» ? Comment l’Etat peut donner à quelqu’un le droit de propriété d’un mot générique ? C’est comme si on donnait le droit de propriété à «Entreprise».

Comment peut-on expliquer que la Royal Air Maroc qui ne roule pas sur l’or, n’arrive pas à justifier une dépense de 1,2 millions dhs en faveur de cet individu ?

Peu de personnes et d’organisations ont pu échapper de justesse de ses arnaques. La dernière en date est Einat Levi, conseillère du Chargé d’Affaires israélien David Govrin. Elle se serait rétractée au dernier moment de l’organisation d’un évènement bidon que lui aurait proposé Mehdi Alaoui.

Il a dû certainement s’inspirer de son ami Adnane Addioui, membre du CSMD, qui a réussi à escroquer l’ambassade des pays-bas d’un montant de 1,6 million de dirhams. Décidément, c’est générationnel et c’est propre à notre écosystème numérique.

Contrefaçon de la marque «La Factory», Mehdi Alaoui condamné par la Cour d’Appel de Commerce de Casablanca

La Cour d’Appel de Commerce de Casablanca en date du 15/10/2019 a reconnu la contrefaçon de la marque «La Factory» par Mehdi Alaoui et sa société App Editor.

Ci-après le texte du jugement N°1948, en première instance du dossier N°205/82112019, en date du 04/03/2019 :

Le tribunal, en séance publique, en première instance et par contumace, a statué :

Sur la forme : en acceptant l’article introductif. 

Sur le sujet : Que l’acte de contrefaçon est avéré et que la partie défenderesse (Mehdi Alaoui et App Editor) doit cessé d’utiliser sa marque déposée sous peine d’une amende menaçante de 5 000 dirhams pour chaque jour de retard à compter de la date de notification, et en engageant au profit de la demanderesse ( La société La Factory de Marrakech) une indemnité de 50 000 dirhams, et la nullité de l’enregistrement de la marque «La Factory by Screendy», sous le numéro 193947 auprès de l’office Marocain de la Propriété Industrielle et Commerciale, et l’autorisation au Directeur de l’Office d’inscrire ce jugement après qu’il soit devenu définitif au Registre National des Marques, et d’en publier le jugement en attente de publication après qu’il soit devenu définitif dans deux journaux en français et en arabe en caractères gras aux frais du défendeur.

Nasser Kettani, Oussama Choubai et les jumeaux Lakhdissi : le cercle proche de Mehdi Alaoui pour mettre la main l’Apebi et le Technopark

Vous avez fait connaissance du Professeur, de Berlin et de Lisbonne, aujourd’hui nous vous présentons, Zouheir Lakhdissi, alias Helsinki, Mouhsine Lakhdissi, Oslo, Oussma Chouabi, Denver et Nasser Kettani, alias Rio.

Ces monsieurs sont tous membres du Conseil d’Administration de l’Apebi, ont tous préparé l’évènement MorooccTech, qui a couté au contribuable marocain 5 millions de dirhams pour aucun résultat, et sont tous mobilisés contre les sages de la fédération pour imposer leur candidat Medi Alaoui.

Incubateurs labélisés CCG, prisons pour esclaves

Sur les 500 m2 de ses bureaux au Technopark, sensés accueillir décemment les jeunes porteurs de projets technologiques, Mehdi Alaoui va en trancher plus du tiers pour un studio d’enregistrements de ses lucratifs événements, dont le catering est assuré par son épouse qui change de casquette de DG à TopChef quand il s’agit d’économiser des dirhams.

Entassés dans des bureaux peu confortables, ces jeunes porteurs de projets qui doivent, en plus de donner un pourcentage de leur financement ou une part de leur capital à Mehdi Alaoui, subir une forme d’esclavage digital. Il les utilise comme des ressources pour ses projets ou des prétextes pour collecter des fonds. «Il y a deux gars, cela fait trois ans qu’il les traines dans toutes les présentations clients. Jusqu’à aujourd’hui ces jeunes n’ont rien produit» témoigne un jeune du Technopark.

Le système de labélisation de la CCG se pervertit quand il tombe entre les mains de personnes qui se croient intouchables, à l’image de Mehdi Alaoui ou des actionnaires de H-Seven. Ils transforment les jeunes porteurs de projets en actifs à générer du cash. Ils les taxent pour se faire accompagner et se faire financer. Ils les trainent dans tous les évènements comme des bêtes des foires et encaissent sur le dos, souvent, des sommes faramineuses. Le cas de l’émission de 2M financée par la CCG et inwi, «Qui va investir dans mon projet ?» co-produite par Mehdi Alaoui, en est le meilleur exemple. J’invite à ce sujet, M. Serghini à contacter un par un les lauréats de la première édition et de leur demander si Mehdi Alaoui a bien honoré ses engagements devant les caméras et devant les marocains.

J’invite par la même occasion M. Serghini qui dépense un argent fou pour promouvoir son ami Mehdi Alaoui, de vérifier combien de projets financés par la CCG ont donné lieu à une véritable création de valeur, parmi l’ensemble des projets financés par la Caisse.

M. Serghini doit savoir que ses jeunes sont souvent exploités dans des projets personnelles des labellisés. Mehdi Alaoui et ses semblables, non seulement ils ne délivrent pas le mission pour laquelle, ils sont payés, mais ils enchainent les jeunes porteurs de projets et condamnent toute créativité et innovation.

Je recommande à M. Serghini de regarder de près ce que fait le Ministre Younes Sekkouri avec le programme «Awrach» et comment son sytème arrive à réguler le flux du cash.

Ne payant pas ses loyers, ne payant ses impôts et rouler en Range Rover, telles sont les valeurs de l’entreprenariat inculqués aux jeunes, sponsorisés par la CCG

L’entrepreneuriat des jeunes n’est pas juste des photos, des émissions télé et des statistiques à présenter à qui est de droit. L’entrepreneuriat est un état d’esprit, des valeurs et une leçon de vie.

Mehdi Alaoui n’offre rien de tout cela aux jeunes. Il représente le modèle de celui qui roule en Range Rover, qui ne paie son loyer ( d’ailleurs dans sa guerre contre Laima Benmakhlouf, il incitent les jeunes à ne plus payer les leur), qui ne paie pas ses impôts et qui contrefais des marques.

Bravo le modèle!

Le Koweït dément avoir effacé la dette de la Mauritanie

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Dans un communiqué du ministère des Finances koweïtien publié par l’agence de presse officielle du pays, KUNA, le Koweït dément les rumeurs selon lesquelles il a été décidé d’annuler la dette mauritanienne et précise qu’il compte bien récupérer sa dette. Des rumeurs que Nouakchott a bien laissé courir au lendemain la visite officielle au Koweït du président mauritanien, Mohamed Ould Abdel Aziz, et qui ont été largement reprises par la presse internationale.

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Tournée royale dans le Golfe : Vers un réchauffement des relations avec l’Arabie Saoudite

Si la situation dans le monde arabe sera certainement au centre de la tournée qu’effectuera le roi Mohammed VI dans le Golfe, la qualité des relations bilatérales sera aussi à l’ordre du jour, surtout avec l’Arabie Saoudite, leader des monarchies pétrolières. Si les signes d’un réchauffement sont là, il restera à la diplomatie marocaine de définir les limites sur lesquelles le Royaume sera intraitable.

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OTAN arabe : L’alliance judéo-sunnite pour combattre le chiisme

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Soucieux de réduire la présence des forces américaines et leur budget dans le Moyen-Orient, Donald Trump pousse de toutes se forces en faveur de la création d’un OTAN arabe qui comprendrait la Jordanie, l’Égypte, le Bahreïn, le Qatar, le Koweït, les Émirats arabes unis, Oman et l’Arabie saoudite. L’idée de départ, formulée par Barack Obama était de créer une alliance judéo-sunnite pour combattre le chiisme, mais pas seulement. Toutefois, ce projet a peu de chances d’aboutir.

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Jordanie : un proche du roi Abdallah II impliqué dans un Complot de déstabilisation du pays

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En exil depuis 2013 en Grande Bretagne, Walid Al Kurdi, le mari de la princesse Basma bint Talal, tante du roi Abdallah II, serait impliqué dans un complot de déstabilisation de la Jordanie. Selon des informations révélées, ce jeudi, par le journal koweïtien, Al Qabas, plusieurs personnes se seraient mêlées à cette conspiration qui visait à exacerber le mécontentement populaire. Le journal électronique Alhurra, appartenant au groupe saoudien, Asharq al-Awsat, évoquait, le même jour, l’état d’urgence dans lequel serait plongée la Jordanie, à l’approche du mois de ramadan, date d’anniversaire des manifestations qui ont fait tomber, l’an dernier, le gouvernement de Hani Moulki.

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L’Emir du Qatar ratifie deux accords de coopération avec Rabat

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Alors que les relations entre le Maroc et l’Arabie Saoudite traversent de fortes turbulences, et dans un signal fort du Qatar, L’Emir Tamim Ben Hamad a ratifié mardi 2 accords de coopération avec le Maroc dans les domaines agricole et des infrastructures. Des accords qui viennent s’ajouter à une série d’autres accords ratifiés en juin 2018 en plein blocus imposé au Qatar par l’Arabie saoudite, les Émirats arabes unis, le Bahreïn et l’Egypte. C’est là une réponse de Rabat tout d’abord, une sorte de recadrage du Maroc quant aux velléités saoudiennes et emiraties à qui Rabat rappelle ses choix souverains, l’indépendance de sa politique étrangère et son refus catégorique que la question du Sahara soit un facteur de pression ou de chantage. Toujours timide, le volume des échanges commerciaux entre le Qatar et le Maroc au cours de l’année 2017 s’est élevé à 80 millions de dollars. Il est amené à évoluer d’une manière significative grâce aux nouvelles réglementations.

Pendant que les aides promises à Rabat par les pays du CCG tardent à venir pour des considérations très politiques, Doha a décidé de sortir du lot et engager un programme ambitieux avec le Maroc.

L’agence de presse du Qatar (QNA), par l’intermédiaire de son compte Twitter, a publié aujourd’hui une série de décisions rendues par l’émir Tamim Ben Hamad concernant la coopération entre le Qatar et le Maroc. Le premier accord approuve la ratification d’un accord de coopération dans le domaine des ‘infrastructures entre les gouvernements de l’Etat du Qatar et du Royaume du Maroc.

Le deuxième, concerne le décret n ° (6) pour l’année 2019 stipulant la ratification d’un mémorandum d’accord de coopération dans le domaine de l’agriculture entre le Qatar et le Maroc, décrivant la mise en œuvre et le déroulé des travaux à compter de la date de publication du texte.

Il est à rappeler que le 5 juin 2018, alors que le Qatar était confronté à une crise majeure avec les pays du CCG, le Maroc à renforcé davantage ses relations avec Doha, en accélérant la publication d’un instrument de ratification approuvant le projet d’accord de coopération industrielle entre les deux pays, signé à Marrakech le 27 décembre 2013. Ainsi que l’approbation d’accords de coopération avec dans les domaines du développement agricole, éducatif, fiscal et social.

Historique des relations entre le Maroc et le Qatar

Le Royaume du Maroc entretient des relations diplomatiques avec le Qatar depuis 1972, ce qui signifie que les deux pays entretiennent depuis 46 ans des relations étroites, renforcées par des visites et des accords mutuels.

Les accords les plus importants signés entre l’État du Qatar et le Royaume du Maroc :

  • 1981 :  signature d’un accord réglementant l’utilisation de travailleurs marocains au Qatar.
  • 1981 :  signature d’un accord d’information entre l’État du Qatar et le Royaume du Maroc.
  • 1987 :  signature  d’un accord sur le transport aérien.
  • 2003 : signature d’un protocole de coopération dans le domaine administratif.

L’année 2011 a été marquée par un développement significatif et un saut qualitatif dans les relations entre les deux pays :

  • Signature d’un accord de partenariat pour la création d’un organisme commun d’investissement.
  • Mémorandum d’accord sur la coopération touristique entre le gouvernement marocain et le gouvernement du Qatar.
  • Mémorandum d’accord relatif à la coopération dans le domaine des métaux entre le Maroc par l’intermédiaire de l’ONHYM et le gouvernement de l’État du Qatar par l’intermédiaire de la Qatar Mining Company.
  • Protocole additionnel à la Convention sur la réglementation de l’emploi des travailleurs marocains au Qatar, signée en 1998 entre le gouvernement marocain et le gouvernement du Qatar.
  • Un accord d’assistance administrative mutuelle pour permettre la bonne application de la loi sur les douanes et pour prévenir, enquêter et combattre les infractions douanières entre le gouvernement de l’État du Qatar et le gouvernement du Maroc.
  • Protocole de coopération culturelle pour la restauration de châteaux, de forts, de sites archéologiques et de monuments historiques du Qatar.
  • Accord sur l’exemption des ressortissants de l’État du Qatar et du Royaume du Maroc titulaires d’un passeport et de service diplomatiques et privés et de l’obligation d’obtenir un visa d’entrée entre le gouvernement de l’État du Qatar et le Royaume du Maroc.
  • Lettre d’intention sur la coopération industrielle dans le domaine des engrais chimiques entre le ministère de l’Énergie et de l’Industrie du Qatar et le ministère de l’Énergie, des Mines, de l’Eau et de l’Environnement du Royaume du Maroc.
  • Accord de coopération scientifique et technique dans le domaine des normes, de la métrologie et du contrôle de la qualité entre le gouvernement du Qatar et le gouvernement du Maroc.
  • Mémorandum d’accord entre la Banque centrale du Qatar et la Bank al-Maghrib.
  • Mémorandum d’accord entre le Comité olympique du Qatar, et le ministère de la Jeunesse et des Sports du Royaume du Maroc.
  • Troisième programme triennal de l’accord culturel et artistique dans le domaine de la culture, des arts et du patrimoine  pour les années (2011-2012-2013).
  • Cinquième programme exécutif dans le domaine de l’éducation sous-jacent de l’accord culturel et artistique pour les années académiques 2010-2011, 2011-2012 et 2012-2013.
  • Troisième programme exécutif de l’accord de coopération dans le secteur des médias entre le gouvernement de l’État du Qatar et le gouvernement du Royaume du Maroc pour les années (2011-2012-2013).

En 2013, les deux parties ont signé une autre série d’accords :

  • Convention sur la prévention de la double imposition et la prévention de la fraude fiscale en matière d’impôt sur le revenu.
  • Mémorandum d’accord sur la contribution du Qatar au financement de projets de développement dans le royaume.
  • Troisième Convention Coopération scientifique et technique.
  • Accord de coopération bilatérale dans le domaine des projets d’infrastructure.
  • Accord de coopération et de jumelage entre la Cour de cassation au Maroc et la Cour de cassation au Qatar.

Un an plus tard, en 2014, les deux parties ont convenu les accords suivants :

  • Accord dans le domaine de la navigation.
  • Mémorandum d’accord sur la reconnaissance mutuelle des certificats conformément aux conventions internationales de formation et de réadaptation.
  • Mémorandum d’accord sur la coopération dans les dotations et les affaires islamiques.
  • Mémorandum d’accord dans le domaine du développement social.
  • Programme exécutif de l’accord de coopération de la jeunesse pour les années 2014, 2015, 2016.
  • Accord de coopération et d’échange entre l’agence officielle du Maghreb marocain et l’Agence de presse du Qatar.
  • Deux accords entre l’État du Qatar et le Royaume du Maroc relatifs au financement de projets dans l’agriculture et la pêche, le premier accord sur le financement de projets agricoles avec un don de 202 millions de dollars et le second accord sur le financement de projets de pêche avec un don de 69 millions de dollars.
  • Accord de coopération dans le domaine de la sécurité.
  • Accord sur le transport aérien
  • Accord de coopération entre le Royaume du Maroc et l’État du Qatar pour la conservation de la biodiversité et des animaux sauvages et de leurs habitats

Les années 2015, 2016, 2017 et 2018 ont vu se multiplier les accords de coopération et les protocoles, notamment :

  • Signature d’un accord de coopération entre Qatar Railways et l’ONCF.
  • Un accord de coopération stratégique et de partenariat entre la RAM et Qatar Airways.
  • Sixième session du Comité supérieur mixte maroco-qatari, 5-6 avril 2016 à Doha.
  • Accord de coopération dans les domaines juridique et judiciaire.
  • Mémorandum d’accord entre le Comité national pour le droit international et humanitaire de l’État du Qatar et la Commission nationale marocaine pour le droit international humanitaire.
  • Accord sur le transport maritime.
  • Accord de coopération entre l’Agence nationale des ports du Maroc et la société de gestion des ports du Qatar.
  • Protocole d’accord de coopération dans les domaines du pétrole et du gaz, des énergies renouvelables, de l’électricité et de l’efficacité énergétique entre le Ministère de l’énergie et de l’industrie du Qatar et le Ministère marocain de l’énergie, des minéraux, de l’eau et de l’environnement.
  • Le quatrième programme exécutif dans le domaine culturel et artistique.
  • Premier programme exécutif pour le sport.
  • Mémorandum d’accord entre l’Autorité générale des retraites et des assurances sociales du Qatar et le Fonds de dépôt et de gestion marocain.
  • Protocole d’accord entre Attawfiq Micro-Finance, et Silatech, destiné à promouvoir l’accès au financement et à l’accompagnement de 90.000 entreprises jeunes à l’horizon 2020.

Sahara : L’Arabie Saoudite viole le pacte d’amitié qui lie Rabat et Riyadh

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L’Arabie saoudite vient de franchir une des lignes rouges imposées par le Maroc concernant son intégrité territoriale. En préméditant un documentaire diffusé sur la chaîne Al-Arabiya, la télévision saoudienne a mis clairement en doute la souveraineté du royaume sur son Sahara. Un précédent d’une rare gravité dans les relations entre Rabat et Riyadh. Dans une de ses émissions, Al-Arabiya a parlé en long et en large du point de vue du Polisario concernant ce conflit aux dépens du Maroc, soulignant même la reconnaissance de la pseudo-RASD par de nombreux pays. Pis, Al-Arabiya, dont la ligne éditoriale est dictée par le Cabinet royal saoudien, s’est permis d’avancer que la communauté internationale reconnaissait le Polisario comme représentant du «peuple sahraoui ».

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Premier grand format avec Al Jazeera : Bourita affirme la clarté et l’indépendance de la diplomatie marocaine

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Dans son premier grand format avec la chaîne panarabe Al Jazeera, le ministre marocain des Affaires étrangères et de la coopération internationale, Nasser Bourita, était l’invité, mercredi soir, de l’émission phare et à grande audience, «bila houdoud» [Sans frontières]. La crise entre les pays du Golfe, l’Iran, le Yemen, le Sahara, la relation avec l’Algérie, l’Afrique, la Syrie et la question palestinienne, tels sont les principaux sujets discutés lors de cette rencontre qui a duré une quarantaine de minutes.

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Bahreïn, prochaine destination arabe de Netanyahu

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Après sa visite «historique» le 26 octobre 2018 au sultanat d’Oman où il a été reçu à Muscate avec tous les honneurs par le Sultan Qabous Ibn Said -l’événement constituant une première pour un pays du Golfe-, des informations insistantes font état ces dernières semaines d’une visite prévue par Benjamin Netanyahu dans une autre capitale du CCG. Et c’est un des porte-parole du cabinet du premier ministre israélien qui a confirmé qu’il s’agit du royaume de Bahreïn que Netanyahu comptait visiter incessamment.

Selon les idéologues israéliens, ces visites à Oman et au Bahreïn, qui seront suivies plus tard par d’autres rendez-vous dans des pays arabo-musulmans plus grands et plus influents, ont pour objectif de «corriger l’histoire» au Moyen-Orient et que cela constitue le prélude à «quelque chose de plus grand et de plus important.»

Le Prince Nasser Ben Hamad Al Khalifa, fils du roi du Bahreïn s’est rendu en septembre 2017, au Musée de la Tolérance au Centre Simon Wiesenthal à Los Angeles, en Californie

Selon les communicants de l’Etat hébreux, Israël fournit faisait «de gros efforts au niveau sécuritaire et universitaire » avec beaucoup de pays arabes et attend d’en récolter «le fruits », sachant que «de nombreux ministres se sont déjà rendus dans des pays arabes et du Golfe avec de grandes équipes économiques et sécuritaires. »

Pour faciliter ces contacts avec les pays arabo-musulmans, Israël compte sur un de ses lobbyistes attitrés, le grand rabbin Mark Schneier, qui a été reçu ces 20 dernières années dans toutes les cours des pays du Golfe avec comme mission d’établir des relations bilatérales avec Tel Aviv, bien avant de chercher à trouver une solution à la question palestinienne.

Mohammed VI s’entretient au téléphone avec le roi Salmane Ben Abdelaziz

Le roi d’Arabie saoudite, Salmane Ben Abdelaziz, a réaffirmé la position de l’Arabie saoudite vis-à-vis du Maroc contre toutes les menaces à sa sécurité, sa stabilité et son intégrité territoriale, a rapporté ce soir l’agence officielle saoudienne.

Au cours de l’entretien téléphonique, les deux souverains ont souligné la nécessité d’unifier les positions et de coordonner les efforts pour faire face aux actes d’agression du régime iranien, à ses immixtions dans les affaires intérieures des pays arabes et aux politiques visant à déstabiliser la sécurité et la stabilité du monde arabe.

Ce jeudi, la Ligue arabe, l’Organisation de la Coopération islamique et le Conseil de la Coopération du Golfe ont tous dénoncé l’interventionnisme de l’Iran dans les affaires des pays arabes tout en exprimant leur solidarité avec le Maroc suite à la décision du royaume de rompre ses relations diplomatiques avec Téhéran.