fbpx

BMCE Bank of Africa

Othman Benjelloun canalise l’investissement chinois en Afrique

///

Othman Benjelloun, l’homme d’affaire, d’influence et de soft power, fait partie de ceux qui ont vu de très prés la naissance de l’hyperpuissance chinoise. Il fut d’ailleurs le premier marocain à être reçu par le fondateur du Parti communiste chinois, Mao Tsé-Toung. Une visite qui s’inscrivait dans la stratégie américaine pensée et déroulée par son ami Henry Kissinger. Laquelle stratégie consistait à contenir par une muraille de feu, d’alliances mais aussi de business, une Chine, hyperpuissance en devenir. Kissinger estimait qu’un monde bipolaire peut être dangereux, et qu’une pluralité des pôles de puissance donnait davantage de jeu. Alors que les démons de la guerre totale sont de retour, Sir Othman Benjelloun, de haut de ses 90 ans, remet ses gants de velours pour offrir au Royaume, un levier économique et diplomatique d’influence, d’innovation et d’action porteur de paix et d’espoir dans un continent, objet de de toutes les convoitises.

«Le mot retraite n’existe pas dans mon vocabulaire. Dans notre famille, on travaille tant qu’on a la capacité de le faire». Cette devise est celle de Othman Benjelloun, reprise sur les colonnes de notre confrère Médias24 cette semaine. Une déclaration que le «Gentleman de la finance marocaine» a fait suivre aussitôt par des faits. Il a eu l’honneur d’accompagner le Souverain pour le lancement du projet qui fait intégrer et propulser le Royaume dans le cercle très fermé de la BioTech mondiale. Ensuite, il mobilise, le jour même, la filiale de sa banque à Shanghai pour canaliser les investissements chinois en Afrique.

« Ma succession ? Je n’y ai jamais pensé », nous avait-il lancé. « Les gens me disent que je devrais prendre ma retraite et passer le relais depuis 15 ans déjà et on me le dit encore aujourd’hui. A chaque fois, je réponds que le mot retraite n’existe pas dans mon vocabulaire. Dans notre famille, on travaille tant qu’on a la capacité de le faire ».

Othman Benjelloun, Médias24 – 26/01/2022

SENSYO Pharmatech, un coup de maître du Roi Mohammed VI, une mise en oeuvre de Othman Benjelloun

SENSYO Pharmatech concentre toute la vision et l’ambition du Roi Mohammed VI pour son pays :

  1. UN MAROC SOUVERAIN

La pandémie a joué un rôle de révélateur, en mettant en évidence la dépendance aux approvisionnements de produits essentiels tels que les denrées alimentaires, les médicaments, l’énergie et les matières première. Le Roi Mohammed VI a été l’un des premiers dirigeants du monde à annoncer publiquement la nouvelle réorientation stratégique de son pays sur la voie de la souveraineté «sanitaire, énergétique, industrielle, alimentaire». Une prise de conscience motivée par la bonne lecture royale de ce mouvement structurel de montée des tensions géopolitiques.

De fait, la crise pandémique a révélé le retour en force du thème de la Souveraineté. Qu’elle soit sanitaire, énergétique, industrielle, alimentaire ou autre, sa préservation est devenue l’enjeu d’une véritable compétition qui suscite des réactions fébriles chez certains.

Roi Mohammed VI, Discours du 08/10/2021
  1. UN MAROC DANS LA COUR DES GRANDS

Depuis le début de son règne, le Roi Mohammed VI voyait très grand pour son pays. Un projet comme Tanger Med a transformé le poids stratégique mondial du Royaume, corrigeant le déséquilibre historique au fil des années qui s’était installé entre les deux rives nord et sud de la Méditerranée.

SENSYO Pharmatech s’inscrit dans cette catégorie de projets de rupture, aussi bien par la taille, les investissements consentis que par l’appui et l’ambition royaux. Un projet vise non seulement à ce que le Maroc maintienne sa trajectoire ascendante mais à s’imposer à la cour des grands.

Les chiffres du projets sont éloquents et les ambitions sont grandes :

  • 500 millions d’euros, d’investissements;
  • 16 millions d’unités de capacité combinée de production en 2024;
  • 20 vaccins et produits bio-thérapeutiques, dont 3 anti Covid-19;
  • 2 milliards de doses de vaccins Siinopharm à horizon 2025
  • 70% des besoins du Royaume et plus de 60% de ceux du Continent
  • Création d’un Pôle africain d’innovation biopharmaceutique et vaccinale de facture mondiale
  • N°1 en Afrique et 5ème mondial dans le monde dans l’industrie du «Fill & Finish».
  • UN MAROC LIBÉRÉ DES EMPRISES DE SES PARTENAIRES HISTORIQUES

Avec un partenaire technologique suédois, un premier client chinois, un financement marocain et un expert de Corée du Sud, SENSYO Pharmatech est le «business case» qui démontre la ferme volonté du Roi Mohammed VI de s’ouvrir à de nouvelles alliances stratégiques.

D’ailleurs, c’est cet engagement irréversible et stratégique pris par le Souverain qui a déclenché autant de haine et d’attaques de la France envers le Maroc et la monarchie au point de faire circuler les rumeurs d’un plan de retrait de ses investissements dans le pays.

Ce partenariat multidimensionnel que représente SENSYO Pharmatech, peut être lu également de l’angle du soft power marocain pour solutionner définitivement le dossier du Sahara marocain. Si la Chine suit de très prés le dossier du Sahara en raison du cas de Taiwan, le renforcement des partenariats économiques et scientifiques avec la Suède, permettront aux deux partenaires de se mieux se connaître et au pays scandinave de libérer une partie de son intelligentsia du poison de l’emprise idéologique des protégés du régime militaire algériens.

Après SENSYO Pharmatech, Othman Benjelloun mobilise BOA Shangai pour canaliser l’investissement chinois en Afrique

Othman Benjelloun ne s’est pas contenté des images du lancement de la plateforme de Benslimane. Le même jour, et pour honorer l’engagement pris devant le souverain pour accompagner la réussite du projet SENSYO Pharmatech, il scelle à travers Bank Of Africa un partenariat avec l’AMDIE visant à canaliser les investissements chinois en Afrique.

En effet, dans une dépêche de l’Agence de presse officielle MAP, Bank Of Africa, le groupe financier panafricain contrôlé par Othman Benjelloun, annonce la signature avec l’Agence Marocaine de Développement des Investissements et des Exportations (AMDIE) d’une convention de coopération pour «encourager les investissements chinois en Afrique».

«Une convention de partenariat a été signée entre Khalid Nasr, directeur général exécutif de Bank Of Africa d’une part, et Youssef El Bari, directeur général de l’AMDIE d’autre part, ayant pour objet la définition des modalités de coopération entre l’AMDIE, Bank Of Africa et BOA Shanghai en matière de développement des investissements chinois au Maroc et en Afrique, et des relations d’affaires entre les opérateurs marocains et chinois de manière générale», indique le communiqué de la banque de Othman Benjelloun.

Les deux parties prévoient la mise en place d’un comité ayant pour rôle de fixer les orientations stratégiques de cette collaboration et de veiller à la mise en œuvre des actions inscrites dans le cadre de ce partenariat, précise la même source.

Ce partenariat, le premier du genre concernant la Chine, est d’une importance cruciale à plusieurs dimensions aussi bien sur le plan économique, que sur le plan diplomatique et géostratégique :

  1. institutionnaliser et formaliser les relations économiques avec la Chine, qui ont connu des hauts et des bas et plusieurs tentatives non abouties. En s’adossant de manière formelle à BAO Shangai, l’AMDIE peut dérouler sa machine de guerre pour accueillir, traiter et analyser toutes les opportunités d’investissement chinois au Maroc et en Afrique.
  2. mettre en pratique des recommandations du souverain quand à l’encouragement des PPP dans l’action due l’exécutif. L’AMDIE profitera de l’expertise de BOA Shangai mais également de l’Intelligence économique poussée du groupe bancaire, unique institution financière de la place y avoir consacré un département dédié.
  3. protéger et sécurisé l’action diplomatique du Royaume avec la Chine des parasites et des vendeurs de sable.

La feuille de route royale pour le Maroc de demain se précise de jour en jour avec des actions concrètes et visibles. Le Maroc de Mohammed VI sort de sa zone de confort au prix de coups bas et de lâches manoeuvres qui regardent encore le monde dans le rétroviseur et à travers du prisme du colonialisme et de l’impérialisme.

L’Université Euromed de Fès organise «La Semaine Africaine de l’UEMF»

L’Université Euromed de Fès (UEMF) organise du 19 au 26 mai prochain, au sein de son éco- Campus, « La Semaine Africaine de l’UEMF » sous le thème « l’Afrique, continent de l’avenir » en collaboration avec son partenaire et sponsor officiel de l’évènement Bank of Africa.

Première édition d’une série annuelle d’événements, La Semaine Africaine de l’UEMF représente un rendez-vous, mais aussi, une occasion de se retrouver, de communiquer et de réfléchir ensemble sur les enjeux et les opportunités liés à l’Afrique.

Cet événement s’inscrit dans le même contexte que la journée mondiale de la diversité culturelle ainsi que la journée mondiale de l’Afrique, respectivement prévues les 21 et 25 mai 2021. Au vu de sa portée internationale, plusieurs personnalités éminentes du monde diplomatique, en particulier plusieurs ambassadeurs des pays frères et amis d’Afrique, mais aussi du monde académique et culturel, du secteur économique et social et de la Société Civile, prendront part à cette semaine dédiée au continent Africain.

Les principales activités et les objectifs visés :

Cet évènement sera principalement marqué par trois activités majeures quotidiennes. « La cérémonie de La Semaine Africaine de l’UEMF connaîtra diverses activités dont des conférences et des tables rondes, des activités culturelles et récréatives et un moment fort pour de fructueux échanges avec les entreprises et les organismes nationaux et internationaux conviés », expliquent les organisateurs, attendant avec impatience le début de l’événement.

La Semaine Africaine de l’UEMF vise à promouvoir une meilleure compréhension de notre continent ; créer un espace de rencontre regroupant des diplomates, des chefs d’entreprises, des chercheurs, des journalistes etc., pour interpréter les dynamiques internes et externes qui animent le continent, proposer des grilles de lecture des réalités africaines dans leur diversité et leur. Complémentarités, réfléchir et débattre sur des thématiques d’intérêt commun pour l’Afrique, les perspectives et les modèles de développement, repenser ensemble les nouvelles orientations stratégiques que l’Afrique en général et le Maroc en particulier à mettre en œuvre au regard de ce que représente l’axe «Europe Méditerranée Afrique» en termes d’opportunités et de potentialités de développement ».

Un événement qui vise le développement de l’Afrique :

En outre, La semaine Africaine de l’UEMF permettra aux participants de mieux connaître l’Afrique, de favoriser les échanges et faciliter les rencontres avec des recruteurs et des décideurs actifs sur le continent, et enfin, de prendre conscience du potentiel de l’Afrique en termes de ressources humaines.

Par le biais de cet événement, l’UEMF et Bank of Africa souhaitent susciter des initiatives et actions concrètes pour le développement du continent. Ainsi l’Université prévoit d’organiser très prochainement un évènement similaire dans trois capitales de l’Afrique subsaharienne notamment à Dakar (Sénégal), à Abidjan (Côte d’Ivoire) et à Libreville (Gabon).

L’Université Euromed de Fès : mission et vision

Placée sous la Haute Présidence d’Honneur de son initiateur sa Majesté le Roi Mohammed VI, l’Université Euromed de Fès (UEMF) est une Fondation d’utilité publique, à but non lucratif.

Elle offre des formations d’excellence, conduit des recherches scientifiques de très haut niveau, en lien étroit avec le monde socio-économique et œuvre à construire dans ce haut lieu du savoir et de la culture qu’est la ville Fès, un cadre d’enseignement supérieur et de recherche basé sur le dialogue interculturel, l’échange et la coopération entre les deux rives de la Méditerranée, avec un prolongement naturel vers l’Afrique Subsaharienne. Elle contribue ainsi, sous l’angle académique et scientifique, au développement et au renforcement de l’intégration régionale dans l’espace Europe-Méditerranée-Afrique.

Se définissant comme une université pluridisciplinaire, l’Université Euromed de Fès donne une grande importance aux trois cycles de la formation universitaire. Ses programmes de formation sont conçus de sorte à donner aux lauréats un fort potentiel d’employabilité et/ou d’entreprenariat, qui leur permet d’être au rendez-vous des défis de demain.

BMCE Bank of Africa : Des résultats en recul par rapport à 2017

/

Comme pour les vins, toutes les années ne sont pas de bons crus. Lors de la traditionnelle conférence de presse dédiée à la présentation des résultats de l’année 2018 organisée à Casablanca le 2 avril dernier, Othman Benjelloun, PDG du groupe, a révélé les principaux agrégats de l’exercice. Il en ressort une baisse de certains indicateurs.

Lire ici

Othman Benjelloun livre son dernier combat

//

A 87 ans, le gentleman de la finance marocaine, Sir Othman Benjelloun, mène son dernier combat pour assurer la pérennité de son groupe. Un plan stratégique 2019-2021 financé par une augmentation de capital de 6 milliards de dirhams, et un nouveau naming sont les principales mesures annoncées par le deuxième homme le plus riche du royaume, à l’occasion d’une conférence de presse des résultats annuels du groupe BMCE of Africa. Avec ce plan stratégique, Othman Benjelloun tente de sauver son groupe qui a de plus en plus de mal à se projeter dans l’avenir et ce à cause des séquelles laissées par la succession des crises financière et immobilière, la transformation des métiers de la banque, l’échec du projet de la Cité Tanger-Tech, l’avortement du rapprochement avec Moulay Hafid Elalamy et la tyrannie de l’âge qui pèse de jour en jour sur le Président.

Lire ici

BMCE Bank of Africa se dote d’un nouvel outil de financement durable

/

Année après année, BMCE Bank of Africa consolide sa position de leader de la Finance Responsable en innovant et étoffant ses services de financement durable. La banque vient de signer un accord avec la BERD dans le cadre du programme GEFF Morocco, en vertu duquel elle bénéficiera, avec le soutien du Green Climate Fund, d’un prêt de 10 millions d’euros, et d’un programme de partage de risque de 50 millions d’euros.

Selon un communiqué de la BERD, la Banque européenne pour la construction et le développement vient de signer un accord avec BMCE of Africa, constitué  d’un prêt en deux tranches pour un total allant jusqu’à 10 millions d’euros. La première tranche de 5 millions d’euros consistera en un prêt de 3,75 millions d’euros de la BERD et une contribution de 1,25 million d’euros du Green Climate Fund (GCF). Une deuxième tranche du financement de la BERD sera étendue ultérieurement.

Cet accord permet également à BMCE Bank of Africa de bénéficier d’une facilité de partage des risques de 50 millions de dollars, offrant des garanties pour améliorer l’accès des entreprises locales oeuvrant dans l’économie verte au financement et élargir en même temps les produits financiers de la banque.

Il est a rappelé que BMCE of Africa, a été la première banque marocaine à se distinguer dans son engagement dans le développement de produits de financement à caractère social et environnemental. La ligne de financement MorSEFF pour l’efficacité énergétique et les énergies renouvelables, en partenariat avec la BERD, l’AFD, la BEI et la KfW a été un franc succès, la positionnant en 1ère place de la Région MENA. Elle a également été la première Institution, au Maroc en 2016, à être signataire du Global Compact des Nations Unies.

Le Maroc est un membre fondateur de la BERD. Il est devenu l’un des pays d’opérations de la Banque en 2012. À ce jour, la Banque a investi plus de 1,7 milliard de dollars dans 50 projets dans le pays. La BERD a également fourni des services de conseil à plus de 550 petites et moyennes entreprises (PME) marocaines, conclut le communiqué.

BMCE Bank of Africa externalise le traitement des services bancaires via une filiale dédiée

Dans le but de réduire les coûts d’exploitation et de mieux maîtriser la gestion des risques opérationnels, tout en améliorant les processus de traitement bancaires et en accompagnant sa révolution digitale, le Groupe BMCE Bank of Africa (BOA) a lancé récemment sa nouvelle filiale, Operations Global Services (OGS). Ainsi, en créant une structure dédiée, BOA choisi d’externaliser tout en internalisant certaines tâches. Elle compte aussi offrir son expertise aux groupes bancaires internationaux en Afrique et en Europe.

La direction de la nouvelle entité, qui a été confiée à Younes Karkouri, siège dans la ville de Bouskoura, dans la banlieue de Casablanca. Selon un communiqué de BOA, « la filiale représente une plateforme spécialisée dans les prestations de services de traitements bancaires de référence à l’échelle internationale, alignée sur les meilleurs standards en matière de performance, expertises, technologies et standards de qualité de service et destinée à jouer un rôle moteur dans le développement des initiatives métiers et technologiques, des activités de traitement bancaires pour l’ensemble du Groupe ».

Une plateforme conforme aux standards internationaux

La nouvelle filiale permettra de mutualiser certaines tâches pour le groupe et ses filiales. Les champs d’intervention d’Operations Global Services couvrent « l’ensemble des filières métiers constituant l’épine dorsale des services et traitements bancaires ». Parmi les activités de la nouvelle filiale figurent en bonne place les crédits et garanties, la monétique, les opérations avec l’étranger, le traitement des valeurs, l’assistance fonctionnelle et la gestion des fonds. Ainsi, BOA espère améliorer la qualité des services offerts à sa clientèle au Maroc, en Europe et en Afrique. « A terme, OGS prévoit de développer ses activités pour le compte des filiales bancaires du Groupe en Afrique et en Europe permettant ainsi un accompagnement de l’évolution organisationnelle des grands groupes bancaires internationaux et des banques marocaines ayant étendu l’implantation de leurs activités à l’international, et notamment en Afrique », précise le communiqué.

En créant une filiale chargé de syndiquer certaines tâches en interne (dans le groupe) et à l’externe en offrant son expertise aux groupes bancaires internationaux, BOA fait un choix judicieux puisque sa demande interne permettra à sa filiale de démarrer dans de bonnes conditions, mais aussi de faire bénéficier les groupes étrangers de sa connaissance du marché financier africain.

Le lancement à Shanghai de la succursale chinoise de BMCE Bank of Africa, passerelle entre l’empire du Milieu et l’Afrique

/

C’est fait. BMCE Bank of Africa –BOA- a démarré officiellement son activité en Chine, à travers sa succursale BOA à Shanghai, qui était déjà opérationnelle depuis quelques mois. Ce démarrage officiel intervient suite à l’obtention en juillet 2018 de l’accord définitif du China Banking Regulatory Commission qui sanctionne ainsi le respect des conditions techniques et administratives exigées. BMCE Bank of Africa est la première banque marocaine et panafricaine à avoir pignon sur rue en Chine. La succursale de Shanghai compte s’investir dans les opérations de Trade finance et de Project finance entre la Chine et le continent africain et compte aussi jouer un rôle de catalyseur des relations économiques entre la Chine et le Maroc.

Lire ici

Laâyoune a désormais son Club PME BMCE Bank

Forte du succès de plusieurs promotions du « Club PME by BMCE Bank », BMCE Bank of Africa a célébré le week-end dernier, en marge du Forum d’Affaires Maroc-France, la promotion du Club PME Laâyoune, la 18ème de ses Clubs PME et la première de la région de Laâyoune-Sakia el Hamra. La banque s’est aussi associée à cette occasion à la Chambre Française de Commerce de l’Industrie au Maroc, CFCIM, pour améliorer la qualité des formations prodiguées. Cette célébration s’inscrit dans le cadre de la mission d’accompagnement et de partenariat durable en faveur des cadres des PME.

Lire ici

RSE : Double consécration pour BMCE Bank of Africa

BMCE Bank of Africa, filiale du Groupe Finance.com a été récompensée, à Dubaï, dans deux catégories lors des Arabia CSR Awards organisés la semaine écoulée aux Émirats arabes unis. BMCE Bank of Africa a reçu le premier prix dans la catégorie des services financiers et celle des partenariats et collaborations lors de la cinquième édition de ces prix.

L’engagement de la banque dans le domaine social et environnemental se trouve ainsi récompensé de façon régulière. Les prix ont été remis lors d’une cérémonie qui a honoré les organisations qui militent pour la durabilité. Ce double couronnement pour la cinquième année consécutive du groupe vient dans le sillage du prix Top Performer RSE décroché auprès de l’agence de notation Vigeo Eiris pour la cinquième fois de suite.

BMCE Bank Of Africa est un groupe ouvert sur l’international en particulier en Afrique (présence dans plus d’une trentaine de pays). Le groupe emploie plus de 14 800 collaborateurs dans le monde. Ce benchmark régional lui a permis d’asseoir sa crédibilité d’être reconnu par des organismes régionaux et internationaux notamment onusiens.

Enquête de NPR : le projet de Tanger Tech City ne verra pas le jour avec Haite

/

La radio publique américaine NPR a publié ce mercredi sur son site une grande enquête signée Ruth Sherlock sur Tanger Tech City sous le titre : «la ville technologique marocaine financée par les chinois verra-t-elle le jour ? » Une telle sortie d’un tel organe de presse américain n’est pas anodine. NPR est un influent support financé par le gouvernement fédéral. Et en tant que radio non commerciale, elle est assujettie aux politiques et orientations publiques élaborées au cœur du pouvoir américain à Washington DC. Quant à la journaliste Ruth Sherlock qui a mené l’enquête, c’est une ancienne correspondante du Daily Telegraph pour les affaires internationales. Elle est surtout connue pour avoir couvert, sur le terrain, les événements qui ont accompagné le «Printemps arabe» en Égypte, en Libye et en Syrie.

Lire ici