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«Ben Batouche, le fugitif» – Dossier Evènement de l’Observateur du Maroc

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L’hebdomadaire L’Observateur du Maroc et d’Afrique a consacré la Une de son dernier numéro au secrétaire général du Front Polisario, le fugitif Brahim Ghali. Hospitalisé dans un hôpital de Logrones, près de
Saragosse en Espagne sous la fausse identité d’un algérien répondant au nom de Mohamed Ben Batouche, pour échapper à la justice. Le chef des séparatistes a eu droit à tout un dossier taillé sur mesure et orné d’un festival de qualificatifs qui lui vont si bien : Violeur, tortionnaire, indésirable, trafiquant, dictateur et criminel de guerre.

«Brahim Ben Batouche, LE FUGITIF» est le titre choisi par la rédaction de l’hebdomadaire l’Observateur du Maroc pour la première de couverture de son dernier numéro paru ce mercredi. Une «Couv» qui annonce la couleur du dossier détonant sur le scandale de l’hospitalisation clandestine du chef des séparatistes en Espagne où il faisait l’objet d’un mandat d’arrêt pour des crimes commis avec le polisario.

Scandale d’État

Perpétrée par des passeurs présidentiels algériens, l’opération clandestine du transfert de Brahim Ghali vers l’Espagne a-t-elle été menée avec la complicité des autorités espagnoles ? s’interroge la rédaction de l’Observateur.

«Les appels se multiplient pour la comparution de celui qu’on surnomme désormais le fugitif Brahim Ben Batouche devant la justice en Espagne où de nombreuses plaintes sont déposées contre lui pour viol, torture et d’autres crimes. Tandis que des parlementaires et des militants associatifs espagnols dénoncent le «scandale d’État» provoqué par Ben Batouche et réclament des explications à leur gouvernement» peut-on lire sur la page 3 de l’hebdomadaire.

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Le plat de résistance du spécial «Ben Batouche LE FUGITIF» se dévore ensuite en 11 bouchées :

  1. Justice espagnole Curva peligrosa*!

Mohamed Ben Batouche est devenu une personnalité célèbre sans rien faire et sans même bouger de sa bourgade à Batna en Algérie. C’est juste son passeport qui a pris l’avion pour se rendre en Espagne.

  1. Brahim Ben Batouche violeur

La jeune Khadijatou Mahmoud, qui a déjà déposé plainte en Espagne contre le chef du polisario pour viol, demande à la justice de ce pays d’interpeller Brahim Ghali puisqu’il se trouve sur le sol espagnol.

  1. Brahim Ben Batouch tortionaire

La justice espagnole doit montrer son indépendance et ouvrir une enquête sur les nombreux crimes génocidaires commis par le chef du Polisario Brahim Ghali, comme le réclament les organisations et les associations sahraouies des victimes des violations des droits de l’homme à Tindouf.

  1. Ben Batouche l’indésirable

Des représentants d’associations marocaines de la région andalouse ont appelé, lundi 26 avril, la justice espagnole à procéder à l’arrestation du « criminel Brahim Ghali ».

  1. Brahim Ben Batouche trafiquant

Il y a déjà près d’un an, le Forum de soutien aux autonomistes de Tindouf (Forsatin) avait mis à nu le chef du Polisario. Les preuves fournies suffisent pour envoyer Brahim Ben Batouche non seulement devant l’Audience nationale espagnole, mais même devant le Tribunal pénal international

  1. Brahim Ben Batouche dictateur

Le Mouvement Sahraoui pour la Paix (MSP) a vu le jour, il y a un an pour dénoncer les crimes du Polisario et de son chef autoproclamé. Plaidant en faveur de la paix, aujourd’hui encore, son fondateur, Hach Ahmed Bericalla revient à la charge.

  1. La Chambre des conseillers interpelle la Justice espagnole sur le cas Brahim Ghali

Les membres de la commission des affaires étrangères, de la défense nationale et des Marocains résidant à l’étranger à la Chambre des conseillers ont appelé hier, mardi, les autorités judiciaires espagnoles à interagir positivement avec les plaintes déposées par de nombreuses victimes contre le chef des séparatistes du “polisario”, le dénommé Brahim Ghali et d’engager la procédure d’arrestation à son encontre

  1. Pedro Sanchez, la déception

Le quotidien espagnol La Razón a publié, mardi 27 avril, une analyse d’Ahmed Charaï sur l’immobilisme du chef du gouvernement espagnol qui nuit dangereusement aux relations maroco-espagnoles. L’analyste rappelle, au passage, certains crimes commis par le chef du polisario que le voisin ibérique accueille sur son sol et tente de le protéger.

  1. Appels au jugement de Brahim Ghali en Espagne pour viol et autres crimes

Des défenseurs des droits de l’Homme multiplient les appels pour que le chef du Polisario, se trouvant actuellement Espagne, soit interpellé et jugé dans ce pays pour les nombreux crimes qu’il avait commis.

  1. Le gouvernement espagnol n’a pas mesuré les conséquences de son attitude

Le gouvernement espagnol n’a pas bien mesuré l’ampleur des conséquences de sa décision d’accueillir le chef des séparatistes du polisario, le dénommé Brahim Ghali, poursuivi en Espagne pour des crimes de génocide, meurtre,
torture et disparitions forcées, souligne le magazine espagnol “Atalayar”.

  1. Le Syndicat national de la presse marocaine accuse

Pour le Syndicat national de la presse marocaine (SNPM), l’affaire Brahim Ghali est révélatrice de la partialité dont font preuve des médias espagnols et français.

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