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Institut Amadeus

Après deux années de pandémie, Brahim Fassi Fihri relance le Forum MEDays

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C’est officiel depuis le 13 juillet. Le Forum MEDays revient en novembre prochain, en présentiel, après deux années d’absence en raison de la pandémie. La thématique de cette 14ème édition ne s’éloigne pas du contexte international mouvementé par les crises à répétitions. En effet, Brahim Fassi Fihri et ses équipes ont fixé comme objet des discussions, débats et échanges le thème : « De Crises en Crises : Vers un Nouvel Ordre Mondial ? ».

Il reste exactement 100 jours avant le démarrage des travaux de la 14ème édition du Forum MEDays, qui se déroulera à Tanger du 2 au 5 novembre prochain. Un évènement particulièrement attendu après deux années d’arrêts en raison de la crise sanitaire. Il faut dire que la thématique choisie pour cette édition est au coeur des préoccupations des décideurs, économistes, médias mais également les citoyens du monde.

«Après deux années d’absence, le Forum MEDays revient, en présentiel, confirmant ainsi son positionnement parmi les plus importantes manifestations non gouvernementales rassemblant, sur une base pérenne, des leaders internationaux et des acteurs économiques de premier plan, faisant de lui l’un des principaux évènements géostratégiques internationaux en Afrique et dans le Monde Arabe», affirme un communiqué de l’Institut Amadeus organisateur du Forum.

Depuis plus de deux ans, le contexte international connaît des bouleversements sans précédent, notamment, à travers la pandémie de la Covid-19 et ses multiples conséquences, qui ont profondément remis en question la résilience des différents modèles de gouvernance sanitaire, économique et sociétale à long terme, ainsi que le conflit en Ukraine, qui a amplifié les séquelles causées par la pandémie et qui a accentué et aggravé les divisions sur le plan mondial.

Ces multiples crises consécutives, ayant bouleversé l’ordre mondial, ont imposé naturellement le choix de la thématique de cette année « De Crises en Crises : Vers un Nouvel Ordre Mondial ? », qui constituera le fil conducteur des différentes sessions programmées lors de cette 14ème édition du Forum MEDays.

MEDays 2022 : 4 jours de débats, 50 sessions et tables rondes, 250 intervenants, 100 pays représentés, 5000 participants

Les MEDays 2022 ce seront quatre jours de débats et d’interactions, à travers plus de 50 sessions et tables rondes, entre plus de 250 intervenants internationaux de renom, parmi lesquels des Chefs d’Etat et de Gouvernement, des ministres, des prix Nobel, des responsables d’organisations internationales, des chefs d’entreprises, des investisseurs et de nombreuses personnalités issues de plus de 100 pays, qui partageront leurs points de vue et leurs lectures des grandes évolutions et des multiples bouleversements actuels autour de plus de 5000 participants.

Brahim Fassi Fihri : «Non, Monsieur le Président, le Royaume du Maroc n’est pas le vulgaire supplétif de la France»

Un tweet inutile et déplacé du Président Français envers les autorités marocaines a déclenché une levée de bouclier dans le Royaume. Dans un contexte de crise sanitaire majeure, où des décisions difficiles et inhabituelles devraient être prises, Emmanuel Macron a oublié le temps d’un tweet, le béaba de la diplomatie internationale. «Je demande aux autorités marocaines de veiller à ce que tout le nécessaire soit fait au plus vite» a-t-il écrit.

«Macron est jeune. Très jeune. Trop jeune pour un langage colonialiste» a fustigé la rédaction de Barlamane.com le ton du président français.

Pour sa part, Brahim fassi Fihri, Président de l’Institut Amadeus, s’est fendu d’une publication au vitriol, en direction du président français. «Non, Monsieur le Président, les autorités du Royaume du Maroc, souveraines et indépendantes, ne pourraient être instruites comme le seraient de simples fonctionnaires de l’Hexagone» s’est indigné le fils du conseiller du Roi Mohammed VI.

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De « Think tank » à « Do tank » : La nouvelle vie de l’Institut Amadeus

La complexité de notre ère impose aux acteurs économiques, associatifs et politiques publiques une grande agilité et une remise en question permanente. Les think tanks n’échappent pas à ce mouvement et sont de plus en plus défiés et questionnés sur leur utilité et sur leur impact sur leur environnement. Aux Etats-unis, pays où ils ont vu le jour, il y a un siècle, des voix se sont levées, depuis l’avènement du printemps arabe, pour redéfinir le rôle de ces « réservoirs à pensées » dans un monde en profonde mutation. Dans un article publié par un senior Fellow de l’un des plus anciens think tank des américain, The Hudson Institute, sous le titre « From Think Tank to Do Tank », le chercheur tire la sonnette d’alarme sur le danger, qui plane sur les groupes de réflexion, de devenir « une chambre d’écho intellectuelle de la politique ».

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Karim EL Aynaoui hisse l’ex OCP Policy Center, de la 16ème à la 8ème place dans la zone MENA, en 4 ans

Année après année, le Policy center for the New South, l’ex OCP Policy Center, s’impose dans la région Mena comme un centre de réflexion et de production d’études et d’analyses de premier plan. Rigueur, sérieux, ouverture et liberté sans autant de qualificatifs qui ont permis à ce think tank de se hisser à la 8ème place du « 2018 Global Go-To Think Tanks Index », publié annuellement par the Lauder Institute of Pensylvania University.

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BFF signe une émouvante liturgie en mémoire des victimes scandinaves

Dans une homélie en hommage aux victimes danoise et norvégienne tombées à Imlil, aux pieds du Toubkal, alors qu’elles visitaient la région en touristes pleines de vie, le président de l’Institut Amadeus, Brahim Fassi Fihri, a dénoncé cet acte barbare qui a bouleversé tous les marocains et expliqué comment le terrorisme était l’expression la plus odieuse de la lâcheté humaine. LE1.


Depuis l’annonce de la tragédie barbare et cruelle d’Imlil et plus largement depuis la mise en lumière du caractère terroriste de ce double meurtre ignoble, les marocains expriment avec force leur émotion unanime, leur choc ainsi que leur indignation sincère et spontanée. Comme pour beaucoup de mes concitoyens, une réelle douleur m’envahit depuis quelques jours tant cet acte est odieux, abominable et traumatisant. En découvrant les photos et les vidéos de ces deux jeunes filles, qui croquaient la vie à pleines dents, j’ai, comme beaucoup de marocains, eu le cœur serré à la vue de ces existences volées et de ces destins brisés. L’espace d’un très court instant, j’ai cru connaitre Maren Ueland et Louisa Vesterager Jespersen, si loin de moi, si loin de nous, mais pourtant si proches depuis qu’une nation musulmane communie dans son ensemble et se retrouve pour pleurer la disparition de deux étrangères, dont le sang a été dramatiquement versé sur nos terres.

En découvrant les photos et les vidéos de ces deux jeunes filles, qui croquaient la vie à pleines dents, j’ai, comme beaucoup de marocains, eu le cœur serré à la vue de ces existences volées et de ces destins brisés

Puis au même moment, en déroulant le fil d’actualité sur l’un des réseaux sociaux, je tombe sur les portraits odieux de ces lâches, de ces traitres à notre Religion, de ces faucheurs de vies, de ces faibles qui s’attaquent en pleine nuit à des « proies » faciles et fragiles, livrées à elles-mêmes et deux fois moins nombreuses. Le contraste entre les photos des deux victimes et celles de leurs bourreaux est bien sûr saisissant. Les images de Maren et Louisa transpirent la vie, le bonheur et l’optimisme tandis que les photos des auteurs de ce crime abjecte et effroyable, issus de la même génération que leurs victimes, dégagent la noirceur, la haine et la mort. Ce sont deux destins opposés, deux trajectoires de vies totalement parallèles qui se sont malheureusement croisés, en ce lieu perdu et isolé des montagnes de l’Atlas, pour ce rendez-vous macabre d’Imlil.

Le contraste entre les photos des deux victimes et celles de leurs bourreaux est saisissant

Le terrorisme n’a pas d’identité. Le terrorisme n’a pas de visage. Le terrorisme n’a pas de couleur. Le terrorisme n’a pas d’odeur. Le terrorisme n’a pas de nationalité. Le terrorisme n’a pas même de religion. Le terrorisme est l’expression la plus odieuse de la lâcheté humaine. Il prend racine dans l’exclusion économique et sociale. Il se renforce dans la diffusion du culte de l’ignorance, alors que notre Religion est bâtie autour du savoir et de l’ « Ijtihad ». Il se cultive dans le terreau fertile de la frustration et dans l’absence d’éducation. Au Maroc, plus que dans tout autre pays musulman, la culture de la haine, le rejet de l’autre et le fondamentalisme religieux ne font pas partie de notre identité. Nous subissons depuis les années 1980 ce discours rigoriste, qu’une infime minorité de marocains a choisi de faire sien. Si les auteurs de la tragédie d’Imlil sont marocains, leur logiciel ne l’est pas et leur référentiel non plus. Leur « allégeance » à « Daech » le démontre.

Si les auteurs de la tragédie d’Imlil sont marocains, leur logiciel ne l’est pas et leur référentiel non plus. Leur « allégeance » à « Daech » le démontre.

Je me refuse de réduire ce double meurtre à un simple fait-divers visant à assouvir une faim de sang de quatre apprentis terroristes ayant eu l’opportunité, sans doute fortuite, laissons l’enquête en décider, de vivre leur « grand soir ». La violence terrible de ce crime filmé et diffusé mais également l’émotion qu’il a suscitée, au Maroc et ailleurs, donne à cet évènement tragique un caractère exceptionnel. De la même manière, je refuse les raccourcis simplistes visant à affirmer que le Maroc se serait radicalisé, que le Wahabisme l’aurait emporté et que beaucoup de marocains seraient des futurs terroristes en puissance.

Je me refuse de réduire ce double meurtre à un simple fait-divers visant à assouvir une faim de sang de quatre apprentis terroristes

Soyons sérieux ! S’il est vrai que dans la société marocaine actuelle s’entrechoquent, voire s’entremêlent, la montée d’un conservatisme latent (mais non violent) et l’expression grandissante d’une volonté réelle d’émancipation, nous sommes tout de même très loin de la réalité « rétrograde » qui prévaut dans beaucoup de pays musulmans, d’autant plus que c’est l’esprit de tolérance séculaire et l’ouverture ancestrale du Royaume qui sont visés par « Daech ».

Je refuse les raccourcis simplistes visant à affirmer que le Maroc se serait radicalisé, que le Wahabisme l’aurait emporté

Cet acte odieux reste, bien entendu, isolé. La réaction sincère et unanime des marocains, toutes couches sociales confondues, et leur rejet, sans équivoque du terrorisme viennent le rappeler à tous ceux qui peuvent en douter. Le Maroc est, et restera, un pays sûr, grâce notamment à l’arsenal de prévention de lutte contre le radicalisme violent déployé dans notre pays à travers la maitrise du champs religieux, contrairement à de très nombreux pays voisins, et à la vigilance, l’expertise et le savoir faire de nos services de sécurité, dont nous pouvons être fiers.

Le Maroc est, et restera, un pays sûr (…) à travers la maitrise et à la vigilance, l’expertise et le savoir faire de nos services de sécurité, dont nous pouvons être fiers.

Je vois depuis 48h, fleurir sur les réseaux sociaux les expressions « Sorry » et « Pardon » à destination du Danemark, de la Norvège et des proches des deux victimes. Je suis fier de cette émotion forte et sincère qui nous porte depuis deux jours et de ce rejet implacable de cette infamie manifesté avec force par les marocains. Mais je me permets d’évoquer ici mon scepticisme sur la pertinence d’exprimer des excuses, même si je comprends, bien sûr, le besoin pour de très nombreux marocains, moi le premier d’ailleurs, d’exorciser ce choc. S’excuser de quoi d’ailleurs ? D’être marocains ? D’être musulmans, alors que ces criminels barbares souillent l’Islam ? De ne pas avoir su protéger Maren et Louisa ? Pourquoi nous excuser alors que le « risque zéro » n’existe pas en matière de lutte contre le terrorisme ? Il n’existe ni au Maroc, ni ailleurs, puisqu’aujourd’hui plus aucun pays ne peut prétendre être à l’abri de cette menace globale. En dix ans le Royaume n’a connu « que » deux actions terroristes ayant entrainé le décès de 19 victimes alors qu’on recense en France, durant la même période, 14 attentats (perpétrés majoritairement par des français, nés en France et ayant toujours vécu dans l’Hexagone) et plus de 230 morts. Pourquoi, donc, nous excuser alors que plusieurs pays occidentaux et musulmans nous envient notre stratégie pertinente de lutte contre le radicalisme violent ainsi que l’efficacité de nos services anti-terroristes ?

Je suis fier de cette émotion forte et sincère qui nous porte depuis deux jours…Mais je me permets d’évoquer ici mon scepticisme sur la pertinence d’exprimer des excuses

Serait-ce une forme de « pardon » inconscient formulé à l’Occident pour éviter qu’il nous amalgame à ces brebis galeuses obscurantistes qui n’ont ni foi ni loi et qui nous ne représentent pas ? Nous devrions, peut-être d’abord, nous excuser, auprès de nous-mêmes, puisqu’à force d’avoir démultiplié les # et les « Je suis » liés aux attentats qui ont endeuillé de très nombreux pays ces dernières années nous avons oublié que cela finirait inéluctablement par nous arriver. Peut-être aussi que certains – refusant, par peur d’une forme de remise en cause, d’affronter cette réalité issue d’une déviance perfide de notre Religion par une insignifiante minorité – devraient s’excuser d’avoir privilégié à outrance les théories conspirationnistes, basées sur une supposée négation du terrorisme islamiste, alors qu’il vient de frapper chez nous dans son expression la plus simple, la plus primitive et la plus barbare.

Nous devrions, peut-être d’abord, nous excuser, auprès de nous-mêmes, puisqu’à force d’avoir démultiplié les # et les « Je suis » (…) Nous avons oublié que cela finirait inéluctablement par nous arriver

En tant que marocain, je suis, comme beaucoup, meurtri par cette tragédie inqualifiable. Ce drame d’Imlil doit être perçu comme un rappel à l’ordre. Il doit renforcer notre détermination à combattre, tous ensemble, la haine et le radicalisme dans leurs différentes formes d’expression, sans complaisance, sans faire d’exceptions, sans faire de concessions et sans accepter de quelconques circonstances atténuantes. « Notre malheur est que nous vivons avec des gens qui pensent que Dieu n’a guidé personne d’autre qu’eux ».  (Avicenne).

Brahim FASSI FIHRI
Président fondateur de l’Institut Amadeus

MEDays2018 : Le Président du Burkina Faso invité de marque

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La ville du Détroit abritera du 7 au 10 novembre prochain, la 11ème édition des MEDays, organisés par l’Institut Amadeus, dirigé par Brahim Fassi Fihri. Traitant du thème « A l’ère de la disruption, bâtir de nouveaux paradigmes », le forum accueillera plus de 150 intervenants de choix et près de 3 000 participants. Placé sous le Haut patronage du roi Mohammed VI, ce forum international reviendra sur les différentes ruptures et mutations connues par le monde à plusieurs niveaux notamment diplomatiques, sociaux, économiques. « Les évolutions internationales récentes sont porteuses de déstabilisation dont pourraient se prémunir les pays du Sud en renforçant leurs coopérations. », prônent les organisateurs de l’évènement.

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Muhammadu Buhari à la tête de la CEDEAO, une bonne nouvelle pour le Maroc ?

L’information est tombée dans la soirée du mardi 31 juillet 2018 à Lomé, capitale du Togo. Le Président du Nigéria, Muhammadu Buhari a été élu nouveau président de la CEDEAO en marge du sommet de cette organisation sous-régionale africaine. L’ami du roi Mohammed VI prend ainsi, pour une année, les rênes de l’organisation de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest, que le Maroc ambitionne d’intégrer afin de boucler son arrimage institutionnel et politique à son continent, l’Afrique.

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Adhésion du Maroc à la CEDEAO : Amadeus à la conquête de l’Afrique anglophone

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Poursuivant son travail d’explication et de sensibilisation au sujet de la candidature du Maroc d’intégrer la CEDEAO et encouragé par le succès enregistré lors des deux étapes de la tournée africaine respectivement au Sénégal et en Côte d’Ivoire, le Think Tank marocain,l’Institut Amadeus, élargit son champ d’action en direction de l’Afrique anglophone.

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Future adhésion du Maroc à la CEDEAO : Après Dakar, Amadeus atterrit à Abidjan pour enrichir le débat

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Le Think tank marocain, l’Institut Amadeus, poursuit son périple africain pour expliquer et enrichir les débats et la réflexion sur la demande d’adhésion du Maroc à la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO). Ainsi, et après une première conférence organisée à Dakar le 29 mars dernier, sous le thème «Adhésion du Maroc à la CEDEAO : Fondements, enjeux et perspectives communes», en partenariat avec la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM) et avec la collaboration du Centre Ivoirien de Recherches Economiques et Sociales (CIRES), l’Institut Amadeus organisera le 20 avril à Abidjan une autre conférence sous le thème « Le Maroc dans la CEDEAO : Élargissement ou approfondissement ? »
L’objectif de la conférence est de réunir responsables politiques, opérateurs économiques, universitaires et acteurs de la société civile ivoiriens et marocains dans le cadre d’une écoute respective et attentive, et d’un dialogue franc et ouvert, souligne un communiqué d’Amadeus parvenu à le1.ma.


L’Institut Amadeus, Think tank marocain indépendant, catalyseur de débats fortement impliqué dans les problématiques africaines, poursuit son initiative de réflexion et d’échanges en perspective de l’adhésion du Royaume du Maroc à la CEDEAO, après une première conférence à Dakar, le 29 mars dernier.

En partenariat avec la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM) et avec la collaboration du Centre Ivoirien de Recherches Economiques et Sociales (CIRES), l’Institut Amadeus organise le 20 avril à Abidjan une conférence sous le thème  » Le Maroc dans la CEDEAO : Elargissement ou approfondissement ?  »

 » La Côte d’Ivoire s’est récemment imposée comme la première destination des investissements marocains en Afrique « , explique Brahim Fassi Fihri, président fondateur de l’Institut Amadeus.  » De plus, la Côte d’Ivoire est un pays pivot de la sous-région Afrique de l’Ouest et l’un des moteurs de l’intégration régionale, poursuit-il. Il nous a semblé naturel et nécessaire d’aller à l’écoute des forces vives de ce pays au moment où le Maroc prépare son adhésion à la CEDEAO « .

L’objectif de la conférence d’Abidjan est de réunir responsables politiques, opérateurs économiques, universitaires et acteurs de la société civile ivoiriens et marocains dans le cadre d’une écoute respective et attentive et d’un dialogue franc et ouvert. Cette démarche a été confortée par la forte présence et la qualité des échanges lors de la première conférence de Dakar, laquelle a rassemblé une quarantaine de décideurs et d’experts des deux pays et a permis la création d’un Comité conjoint et paritaire sénégalo-marocain de suivi de l’adhésion du Maroc à la CEDEAO.

Cette deuxième étape des conférences explicatives autour de l’adhésion du Maroc à la CEDEAO vise donc à approfondir le débat tout en l’élargissant. Ses travaux permettront une meilleure connaissance des enjeux et des positions, de part et d’autre.