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Dwight Bush

Une première : L’ambassade américaine au Maroc répond au Bad Buzz #ZeroMika de John Kerry

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L’ambassade des États-Unis à Rabat a démenti l’information qui a circulé ces derniers jours sur les réseaux sociaux selon laquelle le Secrétaire d’Etat John Kerry aurait utilisé un sac en plastique lors d’achats privés dans la Medina de Marrakech en marge de la #COP22.

Selon le communiqué publié sur sa page Facebook, l’ambassade US explique que John Kerry est très sensible à la campagne #ZeroMika laquelle a été un franc succès, en droite ligne avec les efforts du Maroc dans la protection de l’environnement.

#COP22: Arrivée de John Kerry à Marrakech 

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Le Secrétaire d’Etat américain, John Kerry, est arrivé cette nuit à Marrakech pour participer à la seconde journée des plénières du sommet de la COP22 en présence des chefs d’Etat et de gouvernement du monde. 

À sa descente d’avion le haut responsable américain a été accueilli par le ministre marocain de l’Intérieur, Mohamed Hassad, et l’ambassadeur des Etats-Unis au Maroc, Dwight Bush. Kerry doit prononcer en cours de journée l’allocution officielle de son pays devant les délégués de la 22e conférence des parties sur le climat.

Crise Maroc-USA : Réponse timide de Washington

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Les États-Unis d’Amérique, par la voix de leur ambassade au Maroc, ont timidement réagi aux protestations de Rabat concernant le Rapport du Département d’Etat sur les Droits de l’Homme qui a valu à l’ambassadeur américain Dwight Bush deux convocations par les autorités marocaines en l’espace de deux jours, la première au ministère de l’Intérieur et la deuxième au ministère des Affaires étrangères et de la Coopération. Au lieu de répondre sur le fond du sujet, Washington a préféré
« prendre note de la récente déclaration du ministère de l’Intérieur » en omettant de parler de la convocation de leur ambassadeur par Nasser Bourita en présence du patron de la DGED, Mohamed Yassine Mansouri.

En des termes tres diplomatiques, parfois creux, l’ambassade américaine dit accorder une « grande valeur à l’excellente coopération entre le ministère de l’Intérieur marocain et les agences américaines en matière sécuritaire et juridique », laquelle coopération « revêt un aspect fondamental pour le partenariat stratégique avec le Maroc ».

Usant à volonté de la langue de bois, le communiqué ne fait mention à aucun moment du rapport qui a irrité le Maroc, mais laisse uniquement planer une projection sur le rapport de l’année prochaine sans apporter ni des clarifications sur l’actuel rapport ni encore moins des excuses. Une manière cynique de se débarrasser du problème et de le renvoyer dans le camp marocain. Il appartient aujourd’hui au Maroc de réclamer officiellement des excuses solennelles aux Etats-Unis et d’activer ensuite de nouvelles voies diplomatiques et politiques à l’intérieur même de l’Establishment à Washington afin de corriger ces dérapages à répétition et, surtout, éviter qu’ils se répètent.

 

#Le1.