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Sommet de Kigali : Mohcine Jazouli instaure le lien avec le milieu des affaires dont souffrait notre diplomatie

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Le sommet africain de Kigali, tenu le 21 mars dans la capitale rwandaise, et qui a vu la signature de l’accord prévoyant la mise en place d’une zone de libre-échange continentale, a connu la participation d’une forte délégation marocaine représentant les secteurs public et privé.

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Outre le Chef du gouvernement, Saad eddine El Otmani, qui a présidé la mission officielle, la délégation marocaine comprenait, notamment, le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Nasser Bourita, le ministre délégué aux Affaires africaines, Mohcine Jazouli, la secrétaire d’État chargée du Commerce extérieur, Rkia Derham, l’ambassadeur du Maroc auprès de l’Union africaine, Nezha Alaoui M’hammedi et l’ambassadeur-directeur général de l’AMCI, Mohamed Methqal.

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Le patronat était également fortement présent à ce sommet avec, à sa tête, la présidente de la CGEM, Miriem Bensalah, qui était elle aussi accompagnée d’une délégation composée principalement de jeunes acteurs économiques qui évoluent dans les relations internationales et africaines.

La liste non-exhaustive de ces entrepreneurs comprenait, en particulier, Sanae Lahlou, directrice à l’AMDIE, Sophia El Idrissi, présidente des relations internationales de la CGEM, Nabila Freidji, directrice général de MediaRep, Ali Zerouali, directeur des Partenariats et de la Coopération internationale chez Masen, Kamal Mokdad, directeur général de la BCP, Faïçal Mekouar, directeur général de Fidaroc-Grant Thornton et vice-président général de la CGEM ainsi que Abdou Diop, associé-gérant de Mazars et vice-président de la commission Afrique et coopération Sud-Sud au sein de la CGEM.

La délégation a dégagé durant ce sommet un sentiment de sérénité et d’optimisme qui contraste avec les visages tendus de ces derniers mois. L’arrivée de Mohcine Jazouli semble apporter une élément important à notre action diplomatique en Afrique, la fluidité et la cohérence de l’action Public-Privé, une vraie courroie de transmission entre la diplomatie et les acteurs économiques.

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