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Le PDG de Pfizer, fils de survivants de l’Holocauste, participe à l’allumage de Hanoukka de l’ambassade d’Israël à Washington

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Le patron le plus sollicité au monde durant ce trimestre, a participé mercredi à la cérémonie virtuelle d’allumage de Hanoukka organisée par la l’ambassade israélienne à Washington. Albert Bourla, a été présenté par l’ambassadeur Dermer comme étant le fils de survivants de l’holocauste et l’espoir de l’éradication du Covid-19.

Le PDG de Pfizer, Albert Bourla, a allumé les bougies de Hanoukka lors d’une cérémonie virtuelle organisée par l’ambassade d’Israël à Washington mercredi soir, quelques jours seulement après que sa société pharmaceutique a reçu le feu vert pour distribuer son vaccin contre le coronavirus à travers les États-Unis, rapport The Times of Israël.

Présentant Bourla, l’ambassadeur Ron Dermer a souligné que le dirigeant d’entreprise est également le fils de survivants de l’Holocauste et que «ses parents font partie des rares Juifs de Thessalonique, en Grèce, à survivre aux horreurs perpétrées par les nazis».

Avant d’allumer la Ménorah, le président de Pfizer a noté que Hanoukka est «l’histoire d’une grande détermination face à l’adversité» et aussi «l’histoire du possible devenir possible».

Selon Albert Bourla, tout comme les vacances sont l’histoire de «l’impossible devenant possible», le monde célèbre maintenant la capacité des scientifiques à défier toute attente en développant un vaccin si rapidement

«Alors que cette année extrêmement difficile touche à sa fin et que nous nous tournons vers un nouveau départ, cette Hanoukka est l’occasion de célébrer à la fois l’incroyable esprit humain et la détermination qu’il a fallu pour créer le vaccin COVID-19 et comment ces efforts ont rendu l’impossible. un vaccin si rapidement – possible », a-t-il ajouté.

Les ambassadeurs des E.A.U et du Bahreïn ont également été de la partie

L’ambassadeur Ron Dermer a invité à cette cérémonie religieuse, une série de personnalités :

  • Deni Avdija, le joueur israélien en NBA,
  • Yousef al-Otaiba, ambassadeurs des E.A.U,
  • Abdulla R. Al-Khalifa, ambassadeurs du Bahreïn,
  • David Friedman, ambassadeur des États-Unis en Israël,
  • Nita Lowey, députée démocrate,
  • Gila Sacks, fille de feu le grand rabbin d’Angleterre, Lord Jonathan Sacks,
  • Rabbin Meni Israel rabbin , fils du rabbin Adin Steinsaltz.

Albert Bourla, un médecin vétérinaire à la tête de la Big Pharma

Désormais, le géant américain est dirigé par son directeur général de 58 ans, Albert Bourla, qui a succédé à Ian Read, depuis le 1er janvier 2019. Auparavant, Albert Bourla était le directeur des opérations de Pfizer, avant de succéder à Ian Read, le 1er janvier 2019.

Né en Grèce d’une famille juive, il a découvert le milieu médical en devenant tout d’abord vétérinaire. Dans ses jeunes années, il a validé un doctorat en biotechnologie de la reproduction, à l’université Aristote de Thessalonique, en Grèce.

Albert Bourla a rejoint le groupe Pfizer en 1993, tout d’abord comme docteur en médecine vétérinaire et directeur technique de la Division de la santé animale, dans son pays.

Son ascension a été fulgurante dans les années 2000, décennie pendant laquelle Albert Bourla a tenu plusieurs rôles exécutifs au sein de plusieurs divisions du groupe. Il est aussi le membre de plusieurs conseils, dont le Business Council et le Business Roundtable.

Albert Bourla : la cession polémique de ses actions Pfizer à l’annonce de l’efficacité du vaccin

Le PDG de Pfizer Albert Bourla a vendu pour 5,6 millions de dollars d’actions du laboratoire américain, le jour de l’annonce par le groupe de bons résultats préliminaires sur l’efficacité d’un vaccin contre le Covid-19, rapporte l’AFP le 11 novembre dernier.

En effet, selon un document déposé auprès des autorités boursières américaines de la SEC, Albert Bourla a vendu 132.508 titres au prix de 41,94 dollars à Wall Street, équivalant à près de 5,6 millions de dollars.

La vice-présidente des laboratoires, Sally Susman, a aussi cédé lundi pour 1,8 million de dollars, vendant 43.662 titres, dévoile la même source.

L’action Pfizer s’était envolée lorsque que le laboratoire américain avait annoncé que son vaccin développé avec la compagnie allemande BioNTech était “efficace” à 90% contre le Covid-19.

Selon un porte-parole de Pfizer cité sur le site de CNN, ces cessions «auraient été programmées dans le cadre de leur gestion financière personnelle, depuis août 2019 pour le PDG Albert Bourla et depuis novembre 2019 pour la vice-présidente».

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